Après avoir pris la décision, mardi dernier d’interdire la mendicité dans la voie publique, l’Etat du Sénégal compte sur «le sens de la responsabilité et l’attachement» aux valeurs de «solidarité» de la Société Civile, des ONG, partenaires au développement, guides religieux, musulmans et chrétiens, leaders d’opinion et communicateurs afin d’accompagner cette dynamique pour mettre un terme à de telles pratiques avilissantes.
C’est la substance d’un communiqué qui est parvenu à la rédaction de Pressafrik.com.
A travers, cette note, le Gouvernement a tenu à donner les raisons pour lesquelles il veut bannir la mendicité.«La première est que le Sénégal, qui a ratifié la Convention Internationale contre la traite des personnes, se doit de garantir la liberté personnelle, principe en porte-à-faux avec la mendicité puisque, lorsqu’il s’agit de mineurs, l'autorité a le devoir d'empêcher et de prévenir ce type d’exploitation car la place de l’enfant n’est pas dans la rue », peut-on lire dans le communiqué.
Le Gouvernement informe que la deuxième vient du constat que la plupart des personnes qui mendient occupent la voie publique en l’empêchant, de fait, de jouer sa fonction essentielle de desserte permettant la libre circulation des personnes et de leurs biens. La troisième raison selon le Gouvernement découle d’une volonté de réglementer la mendicité, en vue de contenir les risques qui peuvent en résulter pour l'ordre, la sécurité et la tranquillité publique.
C’est la substance d’un communiqué qui est parvenu à la rédaction de Pressafrik.com.
A travers, cette note, le Gouvernement a tenu à donner les raisons pour lesquelles il veut bannir la mendicité.«La première est que le Sénégal, qui a ratifié la Convention Internationale contre la traite des personnes, se doit de garantir la liberté personnelle, principe en porte-à-faux avec la mendicité puisque, lorsqu’il s’agit de mineurs, l'autorité a le devoir d'empêcher et de prévenir ce type d’exploitation car la place de l’enfant n’est pas dans la rue », peut-on lire dans le communiqué.
Le Gouvernement informe que la deuxième vient du constat que la plupart des personnes qui mendient occupent la voie publique en l’empêchant, de fait, de jouer sa fonction essentielle de desserte permettant la libre circulation des personnes et de leurs biens. La troisième raison selon le Gouvernement découle d’une volonté de réglementer la mendicité, en vue de contenir les risques qui peuvent en résulter pour l'ordre, la sécurité et la tranquillité publique.
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