Seydi Gassama a reçu, ce vendredi 16 juin, au siège d’Amnesty International une délégation du Front pour une Révolution Anti-impérialiste Populaire et Panafricaine, (FRAPP) dirigée par Guy Marius Sagna. Le directeur exécutif d'Amnesty International (AI) Sénégal, a vivement critiqué l'usage excessif de la force par les gendarmes et les policiers lors des manifestations passées.
Il a déploré le recours à des armes à feu, déclarant que "les forces de l'ordre utilisent plus de force qu'il n'en faut pour encadrer ces rassemblements".
A l'en croire, ces actes de violence ont négativement affectés l'image du Sénégal. « Les images de ces violences ont suscité des réactions négatives à travers le monde. Je suis surpris que le ministre de l'Intérieur puisse prétendre que l'image du Sénégal est restée intacte sur la scène internationale », a-t-il déploré.
Ce dernier a rappelé que « le droit de manifester est au cœur de l'architecture des droits humains et ne devrait pas être limité par des interdictions injustifiées, telles que celles actuellement en vigueur au Sénégal ».
Ainsi, il a remis en question « la pertinence des lois » sur lesquelles le préfet s'appuie pour interdire les manifestations, affirmant qu'elles sont « dépassées et basées sur le modèle français ». Il a déclaré que lorsque « la justice ne joue pas son rôle de rempart, la population se rassemble pour exprimer son mécontentement en manifestant ».
Il a déploré le recours à des armes à feu, déclarant que "les forces de l'ordre utilisent plus de force qu'il n'en faut pour encadrer ces rassemblements".
A l'en croire, ces actes de violence ont négativement affectés l'image du Sénégal. « Les images de ces violences ont suscité des réactions négatives à travers le monde. Je suis surpris que le ministre de l'Intérieur puisse prétendre que l'image du Sénégal est restée intacte sur la scène internationale », a-t-il déploré.
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