
L’administration reproche à Nouri al-Maliki de ne pas avoir mis en place un gouvernement d’union nationale, ou plus clairement de maltraiter la communauté sunnite. L’équipe Obama s’inquiète également de la perméabilité de la frontière avec la Syrie.
Mais dans le même temps, il est difficile pour Washington de ne pas venir en aide à un pays dans lequel des centaines de milliers de soldats américains sont restés 10 ans, et qui depuis le retrait de ces troupes voit le nombre des attentats, et des victimes civiles, augmenter sans discontinuer.
Hélicoptères Apaches
L’administration Obama est tentée d’accéder à la demande irakienne qui réclame de l’armement lourd pour lutter contre al-Qaïda et ses affiliés, mais le Congrès exige des progrès avant de lever un embargo sur la vente d’hélicoptères Apaches par exemple.
Un groupe de sénateurs a rendu publique une lettre, dans laquelle ces préoccupations sont exposées.
Ces élus américains craignent que des armes livrées à Badgad pour lutter contre une menace terroriste réelle, ne soient utilisées par le gouvernement irakien contre son opposition.
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