«Depuis qu’on parle de pétrole au Sénégal, les partis poussent comme des champignons. Des gens qui ne devraient même pas en avoir en créent tous azimuts. Les soi-disant leaders poussent comme des champignons. Ce sont des gens puissants qui sont en Occident, qui sont à l’origine de toutes ces créations de partis politiques parce qu’il y a le pétrole et le gaz qui sont découverts. Donc je vous invite à avoir un esprit critique comme tout chef d’État », a-t-il soutenu.
Revenant sur le dialogue, le leader du Bcg déclare : «Nous sommes d’accord pour le dialogue national. Mais il est bon de dialoguer avec nous qui étions là quand la nuit était sombre. Monsieur le président, il faut dialoguer avec vos coalitions, vos alliés surtout ceux de la première heure. Parce qu’ils ont le sentiment que d’autres décident à leur place. C’est frustrant».
Jean Paul Dias qui doute du chiffre annoncé par le chef de l’Etat concernant le nombre de partis politiques au Sénégal invite ce dernier à instruire des investigations pour éclaircir cette zone d’ombre : «Il n’y a pas 267 partis politiques. Il faut élaguer la liste et je suis prêt à aider le ministre de l’Intérieur à faire le toilettage parce qu’il y a des partis politiques qui n’existent que de nom. Je peux citer : le PLS, CDP/garab-j, PAIM, et tant d’autres partis fantômes », se désole-t-il.
Revenant sur le dialogue, le leader du Bcg déclare : «Nous sommes d’accord pour le dialogue national. Mais il est bon de dialoguer avec nous qui étions là quand la nuit était sombre. Monsieur le président, il faut dialoguer avec vos coalitions, vos alliés surtout ceux de la première heure. Parce qu’ils ont le sentiment que d’autres décident à leur place. C’est frustrant».
Jean Paul Dias qui doute du chiffre annoncé par le chef de l’Etat concernant le nombre de partis politiques au Sénégal invite ce dernier à instruire des investigations pour éclaircir cette zone d’ombre : «Il n’y a pas 267 partis politiques. Il faut élaguer la liste et je suis prêt à aider le ministre de l’Intérieur à faire le toilettage parce qu’il y a des partis politiques qui n’existent que de nom. Je peux citer : le PLS, CDP/garab-j, PAIM, et tant d’autres partis fantômes », se désole-t-il.
Autres articles
-
Relations bilatérales: l’Allemagne reconnaît "une mise en question de la qualité des rapports" avec le Sénégal
-
Budget 2026 : le ministère de la Famille dégage 104 milliards de FCFA pour la protection sociale et l'enfance
-
Priorité aux actions sociales : plus de 32 milliards FCFA pour la CMU dans le Budget 2026 adopté à la représentation nationale
-
Clash à l’hémicycle : Abdou Mbow accuse la ministre Maimouna Dièye de distribution illégale de fonds publics
-
Éligibilité de Sonko : Moussa Tine explique le rôle du Conseil constitutionnel et des articles 29 et 57 du code électoral




Relations bilatérales: l’Allemagne reconnaît "une mise en question de la qualité des rapports" avec le Sénégal


