
Dans un communiqué, le Bureau exécutif national du Syndicat des Professionnels de l'Information et de la Communication du Sénégal dénonce les charges contre les Journalistes. Selon le syndicat des journalistes, il s'agit d'une « violation de la Liberté d'informer qui est consacré par la Constitution de la République du Sénégal ».
« Le SYNPICS a été informé ce 15 mars, de charges (gaz lacrymogène) opérées à l'encontre de la presse, par des éléments des forces de défense et de sécurité en opération de maintien de l'ordre à la cité Keur Gorgui de Dakar », indique un communiqué du Synpics.
Poursuivant, le syndicat des journalistes du Sénégal souligne qu’après s'être déporté sur les lieux et échangé avec les confrères, il s'avère « qu'effectivement un cameraman a été blessé par un projectile de la police. Libasse Mbaye dit se porter bien après avoir reçu des soins dans une clinique de la place. Il nous a été rapporté qu'un autre Cameraman serait interpellé par la Police. Nos investigations ne nous permettent pas de confirmer une telle information, mais se poursuivent ».
Après analyse de la situation, le Synpics dénonce « les charges contre les Journalistes. Il s'agit d'une violation de la Liberté d'informer qui est consacré par la Constitution de la République du Sénégal ».
Le Syndicat des Professionnels de l'Information et de la Communication du Sénégal invite les FDS à faire le « distinguo entre les journalistes, bien identifiables par leurs cartes nationales de presse, et tout autre sénégalais qui, pour exercer son propre droit à l'expression se mêle à la presse. La Police et la Gendarmerie disposent de moyens techniques et légaux, pour ce faire. Rien ne peut justifier que l'on gaze des journalistes.
Le Synpics estime que les FDS ont les moyens de « procéder à l'identification professionnelle des journalistes, et doivent même les protéger le cas échéant ».
Le syndicat appelle les journalistes à faire « preuve de solidarité sur le terrain, à veiller les uns sur les autres, et surtout à refuser de se faire infiltrer par un quelconque autre porteur de téléphone, qu'il s'agisse d'un activiste, d'un influenceur, d'un propagandiste politique de quelque camp qu'il puisse se réclamer ou d'un manifestant ».
« Le bureau exécutif national suit avec attention la situation, en relation avec les autres structures faitières des médias. Toute mesure nécessaire sera prise et communiquée à temps opportun », indique le communiqué.
« Le SYNPICS a été informé ce 15 mars, de charges (gaz lacrymogène) opérées à l'encontre de la presse, par des éléments des forces de défense et de sécurité en opération de maintien de l'ordre à la cité Keur Gorgui de Dakar », indique un communiqué du Synpics.
Poursuivant, le syndicat des journalistes du Sénégal souligne qu’après s'être déporté sur les lieux et échangé avec les confrères, il s'avère « qu'effectivement un cameraman a été blessé par un projectile de la police. Libasse Mbaye dit se porter bien après avoir reçu des soins dans une clinique de la place. Il nous a été rapporté qu'un autre Cameraman serait interpellé par la Police. Nos investigations ne nous permettent pas de confirmer une telle information, mais se poursuivent ».
Après analyse de la situation, le Synpics dénonce « les charges contre les Journalistes. Il s'agit d'une violation de la Liberté d'informer qui est consacré par la Constitution de la République du Sénégal ».
Le Syndicat des Professionnels de l'Information et de la Communication du Sénégal invite les FDS à faire le « distinguo entre les journalistes, bien identifiables par leurs cartes nationales de presse, et tout autre sénégalais qui, pour exercer son propre droit à l'expression se mêle à la presse. La Police et la Gendarmerie disposent de moyens techniques et légaux, pour ce faire. Rien ne peut justifier que l'on gaze des journalistes.
Le Synpics estime que les FDS ont les moyens de « procéder à l'identification professionnelle des journalistes, et doivent même les protéger le cas échéant ».
Le syndicat appelle les journalistes à faire « preuve de solidarité sur le terrain, à veiller les uns sur les autres, et surtout à refuser de se faire infiltrer par un quelconque autre porteur de téléphone, qu'il s'agisse d'un activiste, d'un influenceur, d'un propagandiste politique de quelque camp qu'il puisse se réclamer ou d'un manifestant ».
« Le bureau exécutif national suit avec attention la situation, en relation avec les autres structures faitières des médias. Toute mesure nécessaire sera prise et communiquée à temps opportun », indique le communiqué.
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