Des rues transformées en rivières, des voitures qui flottent comme des bateaux, des restaurants les pieds dans l’eau… La côte kényane est à nouveau sujette aux inondations.
Ce phénomène de montée des eaux a débuté la semaine dernière, explique l’Institut de recherche sur les pêches marines du Kenya. Il a été amplifié jeudi par la nouvelle lune et des vents puissants qui ont provoqué des vagues de plus de 4 mètres de haut.
Mais le vrai problème, c’est El Nino : un phénomène climatique cyclique qui provoque de fortes pluies venues de l’océan Pacifique. Les précipitations de ces derniers jours au Kenya ont gonflé les fleuves et rivières des hauts plateaux, qui charrient aujourd’hui bien plus d’eau que ne peut en absorber l’océan Indien.
Pour l’Institut de recherche sur les pêches, le Kenya n’avait pas connu une telle montée des eaux depuis 1997/1998, années également marquées par El Nino.
En réalité, ce sont tous les pays africains de l’océan Indien qui risquent une forte érosion. Selon l’institut météorologique de l’IGAD, l’organisation régionale de la Corne de l’Afrique, l’océan Indien monte d’environ 5 mm par an, quand la moyenne mondiale est de 3 mm.
Ce phénomène de montée des eaux a débuté la semaine dernière, explique l’Institut de recherche sur les pêches marines du Kenya. Il a été amplifié jeudi par la nouvelle lune et des vents puissants qui ont provoqué des vagues de plus de 4 mètres de haut.
Mais le vrai problème, c’est El Nino : un phénomène climatique cyclique qui provoque de fortes pluies venues de l’océan Pacifique. Les précipitations de ces derniers jours au Kenya ont gonflé les fleuves et rivières des hauts plateaux, qui charrient aujourd’hui bien plus d’eau que ne peut en absorber l’océan Indien.
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