Après la cérémonie officielle d'ouverture des négociations centrafricaines à Khartoum, jeudi soir, les parties sont entré dans le vif du sujet, hier vendredi 25 janvier, en participant à une plénière où les bandes armées ont présenté leurs revendications et les représentants du gouvernement ont dit sa disponibilité pour arriver à une paix définitive en Centrafrique.
Vendredi, les parties ont d'abord discuté du Code de bonne conduite qui doit guider leurs travaux et un projet d'agenda, qu'ils ont adopté.
Sur la table des négociations, sept thématiques qui vont des questions politiques à celles liées à la mise en place d'un Comité de suivi de l'Accord de paix global, en passant par les questions sociaux-économiques, la sécurité et la défense, la justice ou encore les arrangements sécuritaires.
Les parties doivent aller très vite car les jours sont comptés. Mais la tâche de la Facilitation sous l'égide de l'Union africaine a été déjà préparé par le panel de cette organisation, explique notre source. Pendant près deux ans, ses experts sont allés à la rencontre des groupes armés pour recueillir leurs doléances, regroupées en une centaine de revendications communes aux 14 groupes armés présents à Khartoum.
A Khartoum, les différentes parties vont donc alterner jusqu'à dimanche séances plénières et travaux en groupes, où chacun va présenter ses propositions de solution sur les points à l'ordre du jour.
Les négociations vont entrer dans une nouvelle phase à partir de lundi, avec la présentation au gouvernement centrafricain et aux groupes armés d'un document de synthèse qui servira de base pour l'« Accord de paix global ».
Les parties ont officiellement jusqu'au samedi 2 février pour parvenir à un projet d'accord, qui sera signé à une date non précisée dans la capitale centrafricaine, Bangui. Le Comité de suivi chargé de veiller à son respect sera mis en place le même jour.
Vendredi, les parties ont d'abord discuté du Code de bonne conduite qui doit guider leurs travaux et un projet d'agenda, qu'ils ont adopté.
Sur la table des négociations, sept thématiques qui vont des questions politiques à celles liées à la mise en place d'un Comité de suivi de l'Accord de paix global, en passant par les questions sociaux-économiques, la sécurité et la défense, la justice ou encore les arrangements sécuritaires.
Les parties doivent aller très vite car les jours sont comptés. Mais la tâche de la Facilitation sous l'égide de l'Union africaine a été déjà préparé par le panel de cette organisation, explique notre source. Pendant près deux ans, ses experts sont allés à la rencontre des groupes armés pour recueillir leurs doléances, regroupées en une centaine de revendications communes aux 14 groupes armés présents à Khartoum.
A Khartoum, les différentes parties vont donc alterner jusqu'à dimanche séances plénières et travaux en groupes, où chacun va présenter ses propositions de solution sur les points à l'ordre du jour.
Les négociations vont entrer dans une nouvelle phase à partir de lundi, avec la présentation au gouvernement centrafricain et aux groupes armés d'un document de synthèse qui servira de base pour l'« Accord de paix global ».
Les parties ont officiellement jusqu'au samedi 2 février pour parvenir à un projet d'accord, qui sera signé à une date non précisée dans la capitale centrafricaine, Bangui. Le Comité de suivi chargé de veiller à son respect sera mis en place le même jour.
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