L'Ordre national des pharmaciens, qui avait décidé, pour protester contre la remise en liberté du trafiquant de faux médicament Amadou Woury Diallo via une grâce présidentielle, de procéder à la fermeture de toutes les officines, ce mercredi 22 mai de 8 heures à 18 heures, est revenu partiellement sur sa décision.
Les pharmaciens, "animés de bonne foi", ont décidé d'annuler leur sit-in devant le ministère de la Santé et de l'Action sociale. Ils ont également réduit la durée de fermeture des officines qui sera désormais de 8 heures à 10 heures, ce mercredi.
"Le président de la République par la voix du ministre de la Santé, qui est actuellement à Genève et qui nous a appelés pour nous demander de surseoir à notre grève-, a décidé d’accorder une audience aux pharmaciens. Il attend juste le retour d’Abdoulaye Diouf Sarr pour organiser cette rencontre dans les plus brefs délais", a confié le Dr Assane Diouf, secrétaire général du syndicat des pharmaciens.
Il ajoute: "le chef de la magistrature suprême a pris l’engagement ferme de travailler avec nous pour régler le problème de la vente illicite de médicaments. Nous considérons que la main tendue du Président est importante pour nous. Donc, nous devons aller répondre à son appel".
Toutefois, l'Ordre souligne que le combat ne s'arrêtera pas là.
Les pharmaciens, "animés de bonne foi", ont décidé d'annuler leur sit-in devant le ministère de la Santé et de l'Action sociale. Ils ont également réduit la durée de fermeture des officines qui sera désormais de 8 heures à 10 heures, ce mercredi.
"Le président de la République par la voix du ministre de la Santé, qui est actuellement à Genève et qui nous a appelés pour nous demander de surseoir à notre grève-, a décidé d’accorder une audience aux pharmaciens. Il attend juste le retour d’Abdoulaye Diouf Sarr pour organiser cette rencontre dans les plus brefs délais", a confié le Dr Assane Diouf, secrétaire général du syndicat des pharmaciens.
Il ajoute: "le chef de la magistrature suprême a pris l’engagement ferme de travailler avec nous pour régler le problème de la vente illicite de médicaments. Nous considérons que la main tendue du Président est importante pour nous. Donc, nous devons aller répondre à son appel".
Toutefois, l'Ordre souligne que le combat ne s'arrêtera pas là.
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