L'ancien chef de l'Etat, qui est mort à Jeddah, au sud de Médine, a été inhumé dans le cimetière d'Al-Baqi, près du mausolée du prophète Mahomet, après la prière de l'après-midi, ont ajouté ces témoins. Son enterrement à Médine avait été annoncé auparavant par un de ses gendres sur Instagram.
« Aujourd'hui, les funérailles du président Zine el-Abidine Ben Ali auront lieu après la prière de l'après-midi à Médine et il sera enterré dans les lieux saints, près du tombeau du Prophète » Mahomet, avait indiqué le rappeur K2Rhym, de son vrai nom Karim Gharbi.
Une partie de la famille de Ben Ali recevra par ailleurs des condoléances dimanche à Sidi Bou Saïd, banlieue huppée de Tunis, selon une annonce publiée dans le quotidien francophone tunisien La Presse.
Une mort peu médiatisée en Tunisie
Chassé par la rue le 14 janvier 2011 après avoir installé un régime policier en Tunisie deux décennies durant, Ben Ali est décédé jeudi en exil. Son décès a été passé sous silence par les médias saoudiens.
Il n'a pas fait la Une de l'actualité ni des conversations en Tunisie alors que le pays s'apprête à élire ses députés le 6 octobre, puis à choisir un président entre deux outsiders, un homme d'affaires emprisonné et un universitaire prônant une décentralisation radicale.
« Aujourd'hui, les funérailles du président Zine el-Abidine Ben Ali auront lieu après la prière de l'après-midi à Médine et il sera enterré dans les lieux saints, près du tombeau du Prophète » Mahomet, avait indiqué le rappeur K2Rhym, de son vrai nom Karim Gharbi.
Une partie de la famille de Ben Ali recevra par ailleurs des condoléances dimanche à Sidi Bou Saïd, banlieue huppée de Tunis, selon une annonce publiée dans le quotidien francophone tunisien La Presse.
Une mort peu médiatisée en Tunisie
Chassé par la rue le 14 janvier 2011 après avoir installé un régime policier en Tunisie deux décennies durant, Ben Ali est décédé jeudi en exil. Son décès a été passé sous silence par les médias saoudiens.
Il n'a pas fait la Une de l'actualité ni des conversations en Tunisie alors que le pays s'apprête à élire ses députés le 6 octobre, puis à choisir un président entre deux outsiders, un homme d'affaires emprisonné et un universitaire prônant une décentralisation radicale.
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