![La Cour constitutionnelle se penche sur le Contentieux électoral en RDC La Cour constitutionnelle se penche sur le Contentieux électoral en RDC](https://www.pressafrik.com/photo/art/default/29771561-28668875.jpg?v=1547557297)
L'opposant a indiqué au lendemain de l'annonce des résultats de l'élection présidentielle par la CENI (Commission électorale) qui allait user de tous les recours légaux pour que ces résultats qui ne reflète "pas la vérité des urnes" puissent être invalidés.
Martin Fayulu conteste les résultats provisoires publiés par la CENI qui donne l'opposant Félix Tshisekedi, vainqueur avec 38,57% des voix et le créditant ainsi de la deuxième place avec 34,8% des suffrages.
Ces résultats contestés par Lamuka, la coalition politique de M. Fayulu sont aussi loin des données consolidées par la Conférence épiscopale nationale congolaise (CENCO) qui a déployés quelques 40.000 observateurs dans le pays.
"La Cour constitutionnelle va commencer à examiner le recours de Martin Fayulu mardi à partir de 09 h 30 (08 h 30 GMT)", a déclaré à l'AFP Baudouin Mwehu, attaché de presse au cabinet du président de la Cour constitutionnelle. Les audiences devraient être publiques et radiotélévisées.
"Ce que nous attendons de la Cour constitutionnelle, c'est le rétablissement de la vérité des urnes", souligne Albert Fabrice Puela, l'un des avocats de Martin Fayulu pour qui "le résultat proclamé par la CENI est une forfaiture."
Plus haute juridiction du pays, la Cour constitutionnelle est composée de neuf membres et est chargée de trancher les contentieux électoraux : elle a huit jours pour rendre sa décision à
partir du dépôt du recours de Martin Fayulu.
Le camp Fayulu ne se fait pas d'illusion sur l'impartialité de la Cour constitutionnelle bien qu'il espère qu'elle dira le droit.
Et faisant justement allusion au président Kabila, Matthieu Kalele Ka-Bila (adjoint de Fayulu) indique que le camp Fayulu sait que "c'est sa cour (à Kabila)", une Cour acquise à la cause du président sortant accusé par une frange de l'opposition d'avoir conclu un accord politique avec Félix Tshisekedi.
Martin Fayulu conteste les résultats provisoires publiés par la CENI qui donne l'opposant Félix Tshisekedi, vainqueur avec 38,57% des voix et le créditant ainsi de la deuxième place avec 34,8% des suffrages.
Ces résultats contestés par Lamuka, la coalition politique de M. Fayulu sont aussi loin des données consolidées par la Conférence épiscopale nationale congolaise (CENCO) qui a déployés quelques 40.000 observateurs dans le pays.
"La Cour constitutionnelle va commencer à examiner le recours de Martin Fayulu mardi à partir de 09 h 30 (08 h 30 GMT)", a déclaré à l'AFP Baudouin Mwehu, attaché de presse au cabinet du président de la Cour constitutionnelle. Les audiences devraient être publiques et radiotélévisées.
"Ce que nous attendons de la Cour constitutionnelle, c'est le rétablissement de la vérité des urnes", souligne Albert Fabrice Puela, l'un des avocats de Martin Fayulu pour qui "le résultat proclamé par la CENI est une forfaiture."
Plus haute juridiction du pays, la Cour constitutionnelle est composée de neuf membres et est chargée de trancher les contentieux électoraux : elle a huit jours pour rendre sa décision à
partir du dépôt du recours de Martin Fayulu.
Le camp Fayulu ne se fait pas d'illusion sur l'impartialité de la Cour constitutionnelle bien qu'il espère qu'elle dira le droit.
Et faisant justement allusion au président Kabila, Matthieu Kalele Ka-Bila (adjoint de Fayulu) indique que le camp Fayulu sait que "c'est sa cour (à Kabila)", une Cour acquise à la cause du président sortant accusé par une frange de l'opposition d'avoir conclu un accord politique avec Félix Tshisekedi.
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