La Police sénégalaise a démenti dans une note, les accusations d’harcèlements de Thione Niang, co-gérant d’une auberge dans la banlieue dakaroise. Ce après la publication d’une vidéo sur les réseaux sociaux, dans laquelle il déclare être victime d’harcèlements de la part des policiers du Poste de Police de Bargny.
Les faits remontent dans la nuit du 31 janvier au 1er février 2020. Un contrôle de routine a été effectué au lieu-dit. Il s’est, alors, avéré que l’auberge ne détient aucune autorisation administrative. La seule pièce fournie par le co-gérant, lors du contrôle, est une attestation de dépôt délivrée par le Ministère du Tourisme, en date du 13 décembre 2019. Mieux, l’auberge ne dispose ni de registres, ni de fiches de Police. Ce qui constitue une violation de la loi en vigueur, selon la Police.
Les accusant de « corrompus, Niang les a menacés de mort par arme à feu, si toutefois, ils se permettraient de revenir sur les lieux », révèle la Police dans un communiqué. L’audition du co-gérant a montré que l’exploitation de l’auberge a débuté, depuis un certain temps, et que des clients ont pu bénéficier des offres proposées, à savoir, les chambres de passe, les restaurants, le bar, comme en atteste les témoignages recueillis auprès de certains d’entre eux.
Après constat de ces manquements, une convocation pour audition, lui a été servie, mais il n’a pas jugé utile de déférer à celle-ci. De l’économie de tout ceci, il ressort que le monsieur chercher à jeter la confusion dans la tête des autorités et des populations, car conscient de violer la loi 94-15 du 24 janvier 1994, relative à la police des débits de boisson, son décret d’application N° 97-338 du 1er avril 1997, ainsi que le décret N°2005-145 du 02 mai 2005, portant réglementation des établissements d’hébergements touristiques. L’autorité judiciaire, avisée des faits, a instruit l’ouverture d’une enquête.
Les faits remontent dans la nuit du 31 janvier au 1er février 2020. Un contrôle de routine a été effectué au lieu-dit. Il s’est, alors, avéré que l’auberge ne détient aucune autorisation administrative. La seule pièce fournie par le co-gérant, lors du contrôle, est une attestation de dépôt délivrée par le Ministère du Tourisme, en date du 13 décembre 2019. Mieux, l’auberge ne dispose ni de registres, ni de fiches de Police. Ce qui constitue une violation de la loi en vigueur, selon la Police.
Les accusant de « corrompus, Niang les a menacés de mort par arme à feu, si toutefois, ils se permettraient de revenir sur les lieux », révèle la Police dans un communiqué. L’audition du co-gérant a montré que l’exploitation de l’auberge a débuté, depuis un certain temps, et que des clients ont pu bénéficier des offres proposées, à savoir, les chambres de passe, les restaurants, le bar, comme en atteste les témoignages recueillis auprès de certains d’entre eux.
Après constat de ces manquements, une convocation pour audition, lui a été servie, mais il n’a pas jugé utile de déférer à celle-ci. De l’économie de tout ceci, il ressort que le monsieur chercher à jeter la confusion dans la tête des autorités et des populations, car conscient de violer la loi 94-15 du 24 janvier 1994, relative à la police des débits de boisson, son décret d’application N° 97-338 du 1er avril 1997, ainsi que le décret N°2005-145 du 02 mai 2005, portant réglementation des établissements d’hébergements touristiques. L’autorité judiciaire, avisée des faits, a instruit l’ouverture d’une enquête.
Autres articles
-
🔴DIRECT - Affaire des 121 milliards: jour de vérité pour Farba Ngom, Industrie de défense au Sénégal
-
Kaolack : des dizaines d’arbre coupés de manière « illégale », les populations alertent
-
Affaire Softcare : les boutiquiers menacent de trainer l’entreprise en justice
-
Journée de la Diaspora : les Sénégalais du Maroc plaide pour une assurance de «décès-rapatriements» de corps
-
🛑Direct_ CICAD / Suivez la journée de la Diaspora




🔴DIRECT - Affaire des 121 milliards: jour de vérité pour Farba Ngom, Industrie de défense au Sénégal


