Assis sous une tente, Désiré reprend des forces. Donneur bénévole, il vient de faire un don d’une poche de sang : « Je suis conscient que mon geste peut sauver ceux qui sont dans le besoin. »
À ses côtés, une dizaine de personnes attendent leur prélèvement : ils ont eu besoin de la banque de sang pour sauver leurs proches. En retour, ils viennent donner le leur pour permettre à la banque de sang de faire des réserves :
« J’ai pris deux poches de sang hier, donc il fallait les rembourser. Et j’ai ramené quatre donneurs pour ça. »
Pendant les deux années de pandémie de Covid-19, le stock de sang a considérablement baissé, reconnait le Dr Olivier Rebienot Pellegrin, Directeur général du Centre national de transfusion sanguine, qui a mis en place une stratégie de communication pour mobiliser les gabonais :
« En 2018, nous étions à 30 % de donneurs bénévoles pour 70 % de dons familiaux. En 2021, nous sommes montés à 60% de dons bénévoles pour 40 % de dons familiaux. Donc, nous avons fait un bond de 30 %. »
Le Gabon prélève environ 23 000 poches de sang par an, un peu en deçà de la demande. Celle-ci est marquée par une surconsommation et la sur-prescription, affirme le patron de la banque de sang.
À ses côtés, une dizaine de personnes attendent leur prélèvement : ils ont eu besoin de la banque de sang pour sauver leurs proches. En retour, ils viennent donner le leur pour permettre à la banque de sang de faire des réserves :
« J’ai pris deux poches de sang hier, donc il fallait les rembourser. Et j’ai ramené quatre donneurs pour ça. »
Pendant les deux années de pandémie de Covid-19, le stock de sang a considérablement baissé, reconnait le Dr Olivier Rebienot Pellegrin, Directeur général du Centre national de transfusion sanguine, qui a mis en place une stratégie de communication pour mobiliser les gabonais :
« En 2018, nous étions à 30 % de donneurs bénévoles pour 70 % de dons familiaux. En 2021, nous sommes montés à 60% de dons bénévoles pour 40 % de dons familiaux. Donc, nous avons fait un bond de 30 %. »
Le Gabon prélève environ 23 000 poches de sang par an, un peu en deçà de la demande. Celle-ci est marquée par une surconsommation et la sur-prescription, affirme le patron de la banque de sang.
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