Le président togolais Faure Gnassingbé, le 4 mars 2010. (Photo: Noel Kokou Tadegnon/Reuters)
Conscient qu’il est de son devoir de garantir la liberté de manifester comme la Constitution le prévoit, le gouvernement togolais n’a pas toutefois jugé bon de laisser la marche de l’opposition se tenir.
Pascal Bodjona, le ministre de l’Administration territoriale, évoque l’impérieuse nécessité d’assurer la sécurité nationale. Il explique que depuis 2007, tous les partis politiques ont en main une lettre du gouvernement qui stipule que les manifestations doivent se dérouler le week-end, avec une information préalable de 72 heures.
Aucune lettre d’un ministre ne peut-être assimilée à une loi de la République, répond le député UFC Patrick Lawson, directeur de la campagne électorale du Frac. Le Front pour l’alternance et le changement, qui soutient Jean-Pierre Fabre, maintient donc son appel à la marche.
Source: RFI
Pascal Bodjona, le ministre de l’Administration territoriale, évoque l’impérieuse nécessité d’assurer la sécurité nationale. Il explique que depuis 2007, tous les partis politiques ont en main une lettre du gouvernement qui stipule que les manifestations doivent se dérouler le week-end, avec une information préalable de 72 heures.
Aucune lettre d’un ministre ne peut-être assimilée à une loi de la République, répond le député UFC Patrick Lawson, directeur de la campagne électorale du Frac. Le Front pour l’alternance et le changement, qui soutient Jean-Pierre Fabre, maintient donc son appel à la marche.
Source: RFI
Autres articles
-
Tchad : le Conseil Constitutionnel valide la victoire de Mahamat Déby
-
En Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo officiellement investi à la présidentielle par son parti
-
Présidentielle en Mauritanie: l’ex-chef de l’État Ould Abdel Aziz, condamné en 2023, a déposé sa candidature
-
Madagascar: l'Église catholique dénonce la loi autorisant la castration des pédophiles
-
Mali: «l'armée ne doit pas justifier ses exactions par celles des terroristes», selon Amnesty