Le député Seydou Diouf a proposé mercredi au gouvernement sénégalais l’adoption d’une loi d’orientation sur le littoral, dans l’objectif de promouvoir une politique intégrée d’aménagement de cette zone.
« Il faut aller vers des politiques d’aménagement à l’image des brises lames à Saly Portudal et des épis installés en profondeur dans la mer, pour capter et réaménager les plages, à travers les courants sédimentaires. C’est cela la solution », a-t-il argumenté.
Internant à l’occasion de l’examen du budget du ministère de l’Environnement à l’Assemblée nationale, il a demandé au gouvernement de protéger les lieux de culte, comme les cimetières, dont celui de Rufisque, à Tiawlène.
« Nous avons plus de 700 km de côte et on ne peut pas arrêter la mer avec un mur, car la mer est une opportunité de développement pour ces populations », a lancé le député.
Cette loi d’orientation sur le littoral doit « promouvoir une politique intégrée d’aménagement du bord de mer », en prenant en compte ses différentes fonctions, notamment l’agriculture, la pêche, l’industrie, le tourisme, entre autres.
« La ville de Rufisque, a rappelé M. Diouf, est une ville littorale, qui a un patrimoine historique lié à la mer et qu’il faut sauvegarder », a-t-il avancé. A Tiawlène et Diokoul, deux quartiers de la ville, la mer absorbe les cimetières et la solution n’est pas d’ériger un mur, car on ne peut pas arrêter la mer avec un mur, a-t-il déclaré.
Avec Aps
« Il faut aller vers des politiques d’aménagement à l’image des brises lames à Saly Portudal et des épis installés en profondeur dans la mer, pour capter et réaménager les plages, à travers les courants sédimentaires. C’est cela la solution », a-t-il argumenté.
Internant à l’occasion de l’examen du budget du ministère de l’Environnement à l’Assemblée nationale, il a demandé au gouvernement de protéger les lieux de culte, comme les cimetières, dont celui de Rufisque, à Tiawlène.
« Nous avons plus de 700 km de côte et on ne peut pas arrêter la mer avec un mur, car la mer est une opportunité de développement pour ces populations », a lancé le député.
Cette loi d’orientation sur le littoral doit « promouvoir une politique intégrée d’aménagement du bord de mer », en prenant en compte ses différentes fonctions, notamment l’agriculture, la pêche, l’industrie, le tourisme, entre autres.
« La ville de Rufisque, a rappelé M. Diouf, est une ville littorale, qui a un patrimoine historique lié à la mer et qu’il faut sauvegarder », a-t-il avancé. A Tiawlène et Diokoul, deux quartiers de la ville, la mer absorbe les cimetières et la solution n’est pas d’ériger un mur, car on ne peut pas arrêter la mer avec un mur, a-t-il déclaré.
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