La ministre du Commerce, et des Petites et moyennes entreprises (PME), Aminata Assome Diatta, a assuré que « le gouvernement travaille à contenir l’augmentation des prix de certains produits », relevant que le coût des produits reste assujetti au marché international.
« Je voudrais vraiment qu’on essaie de comprendre cette nécessité pour nous d’être tout le temps équilibrés. Je peux vous assurer que suite aux instructions du président de la République, tout le gouvernement est mobilisé pour voir comment contenir les prix », a dit Aminata Assome Diatta s’exprimait lors de la réunion du comité régional de développement (CRD) consacrée à la commercialisation des productions agricoles.
Le président de la République, Macky Sall, a insisté mercredi, à l’occasion du Conseil des ministres, sur la "nécessaire régulation des marchés des denrées et produits essentiels aux ménages". D’après le communiqué ayant sanctionné cette rencontre, il préconise "une mobilisation des services compétents du ministère en charge du Commerce, afin d’éviter toute spéculation".
Il s’agit aussi selon lui de "veiller scrupuleusement à une stabilisation durable des prix des denrées de première nécessité y compris l’aliment de bétail", souligne le texte.
« Avec la pandémie (…) nous devons accélérer nos politiques d’émergence puisque quand nous importons nos produits, il reste évident que le coût reste assujetti au marché international et le Sénégal est sous le régime de la libéralisation depuis 1994’’, a relevé la ministre du Commerce, dans des propos rapportés par l’APS.
Selon elle, « ce sont ces mêmes textes qui sont toujours valables mais à un moment on se rend compte que si on applique ces prix qui ne reflètent pas la réalité du marché, on va se retrouver avec un déficit de ces produits ».
« Pour ce qui est de certains produits qui font l’objet d’une augmentation, l’Etat a pris de nombreuses mesures pour éviter les répercussions. C’est le cas du blé, de l’huile, du maïs », a expliqué la ministre du Commerce. Elle a indiqué qu’il arrive un moment où l’Etat épuise tous ses instruments d’intervention, ce qui entraîne cette augmentation des prix.
« C’est pourquoi, il faut essayer de faire en sorte que nous maîtrisions notre production ou que nous soyons autosuffisants pour protéger les producteurs », a fait valoir la ministre.
« Je voudrais vraiment qu’on essaie de comprendre cette nécessité pour nous d’être tout le temps équilibrés. Je peux vous assurer que suite aux instructions du président de la République, tout le gouvernement est mobilisé pour voir comment contenir les prix », a dit Aminata Assome Diatta s’exprimait lors de la réunion du comité régional de développement (CRD) consacrée à la commercialisation des productions agricoles.
Le président de la République, Macky Sall, a insisté mercredi, à l’occasion du Conseil des ministres, sur la "nécessaire régulation des marchés des denrées et produits essentiels aux ménages". D’après le communiqué ayant sanctionné cette rencontre, il préconise "une mobilisation des services compétents du ministère en charge du Commerce, afin d’éviter toute spéculation".
Il s’agit aussi selon lui de "veiller scrupuleusement à une stabilisation durable des prix des denrées de première nécessité y compris l’aliment de bétail", souligne le texte.
« Avec la pandémie (…) nous devons accélérer nos politiques d’émergence puisque quand nous importons nos produits, il reste évident que le coût reste assujetti au marché international et le Sénégal est sous le régime de la libéralisation depuis 1994’’, a relevé la ministre du Commerce, dans des propos rapportés par l’APS.
Selon elle, « ce sont ces mêmes textes qui sont toujours valables mais à un moment on se rend compte que si on applique ces prix qui ne reflètent pas la réalité du marché, on va se retrouver avec un déficit de ces produits ».
« Pour ce qui est de certains produits qui font l’objet d’une augmentation, l’Etat a pris de nombreuses mesures pour éviter les répercussions. C’est le cas du blé, de l’huile, du maïs », a expliqué la ministre du Commerce. Elle a indiqué qu’il arrive un moment où l’Etat épuise tous ses instruments d’intervention, ce qui entraîne cette augmentation des prix.
« C’est pourquoi, il faut essayer de faire en sorte que nous maîtrisions notre production ou que nous soyons autosuffisants pour protéger les producteurs », a fait valoir la ministre.
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