Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
Le ministère des sports au banc des accusés. « Nous avons fourni des équipements sportifs, des restaurations, des hébergements. Nous avons assuré le transport aérien comme le transport routier des différentes fédérations sportives par rapport aux compétitions nationales et internationales depuis plus de vingt ans. Nous sommes environs 35 entreprises dans ce collectif qui fournit presque tout au ministère des sports. Ils nous doivent un peu moins d’un demi milliard soit 500.000.000 F CFA et nous sommes fatigués de courir derrière » lâche le président dudit collectif Ibrahima Lam qui s’indigne.
« Le ministère des sports n’a jamais voulu réglé ses dettes. Ce qui fait que les mini-entreprises que nous sommes, nous éprouvons d’énormes difficultés. Beaucoup d’entre nous sont en faillite et nous n’osons plus poser les pieds en Europe parce que traqués par nos différents fournisseurs et partenaires. Nous avons été reçus par Mbagnick Ndiaye le 11 octobre dernier mais in l’a eu qu’à faire des promesses fallacieuses et malheureuses » déplorent les fournisseurs qui enfoncent le clou par « ce qui leur fait le plus mal dans cette affaire ».
«Sans percevoir notre argent, il a même refusé de nous faire travailler, il a engagé d’autres entrepreneurs à notre place. Et nous, pendant ce temps, nous vivons dans des désagréments. Il ignore qu’hier et avant-hier, nous nous sommes sacrifiés pour le développement du sport dans toutes les disciplines sportives ». « Nous avons adressé une correspondance à M. le président de la République mais la lettre est restée sans suite » indique Ibrahima Lam qui précise que « la seule personnalité du monde sportif à réagir à notre situation demeure le secrétaire général du CNOSS ».
« Nous nous considérons comme un citron sucé et jeté dans l’air après avoir construit des stades, fournit les équipements, les maillots, ballons et trophées» pleure le collectif sur les colonnes du journal « le populaire ».
« Le ministère des sports n’a jamais voulu réglé ses dettes. Ce qui fait que les mini-entreprises que nous sommes, nous éprouvons d’énormes difficultés. Beaucoup d’entre nous sont en faillite et nous n’osons plus poser les pieds en Europe parce que traqués par nos différents fournisseurs et partenaires. Nous avons été reçus par Mbagnick Ndiaye le 11 octobre dernier mais in l’a eu qu’à faire des promesses fallacieuses et malheureuses » déplorent les fournisseurs qui enfoncent le clou par « ce qui leur fait le plus mal dans cette affaire ».
«Sans percevoir notre argent, il a même refusé de nous faire travailler, il a engagé d’autres entrepreneurs à notre place. Et nous, pendant ce temps, nous vivons dans des désagréments. Il ignore qu’hier et avant-hier, nous nous sommes sacrifiés pour le développement du sport dans toutes les disciplines sportives ». « Nous avons adressé une correspondance à M. le président de la République mais la lettre est restée sans suite » indique Ibrahima Lam qui précise que « la seule personnalité du monde sportif à réagir à notre situation demeure le secrétaire général du CNOSS ».
« Nous nous considérons comme un citron sucé et jeté dans l’air après avoir construit des stades, fournit les équipements, les maillots, ballons et trophées» pleure le collectif sur les colonnes du journal « le populaire ».
Autres articles
-
Guédiawaye : un ministre du gouvernement de Sonko attributaire d'un terrain dans la bande des filaos
-
Affaire des véhicules vendus : les cadres de la RTS apportent des précisions
-
Partage des terres à Mbour 4 : le maire de Thiès Est se dit surpris de "l’ampleur des dégâts"
-
AIBD : les agents de la TSA suspendent provisoirement leur grève
-
Mbour 4 : Le président Diomaye fait arrêter toutes les opérations sur les terrains
Partage des terres à Mbour 4 : le maire de Thiès Est se dit surpris de "l’ampleur des dégâts"
