Dans une lettre adressée au prélat italien Rino Fischella, l’organisateur de l’ « Année Sainte » extraordinaire (qui se déroulera du 8 décembre prochain au 20 novembre 2016), le pape François a ainsi détaillé diverses dispositions pour que la possibilité de voir ses fautes pardonnées bénéficie au plus grand nombre.
Outre les malades ou détenus incapables de se rendre dans les cathédrales et les églises jubilaires pour faire la démarche de repentir, le souverain fait également un pas vers les catholiques ayant subi ou provoqué un avortement.
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