Organe administratif chargé d'organiser et de superviser les élections au Sénégal, la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) était en conclave ce jeudi. Ils sont plus de 20.000 personnes indépendantes qu’elle va déployer dans les 14.000 bureaux de vote.
« Nous sommes prêts. Depuis déjà les opérations de refonte et de révisions exceptionnelles, nous sommes à pied d’œuvre. Nous avons sur le terrain, tous les représentants de la CENA à l’intérieur du pays comme à l’extérieur », sert Doudou Ndir.
Le président de la CENA d’indiquer: «Nous organisons des rencontres comme celle d’aujourd’hui qui nous permettent avec nos démembrements pour ensemble voir comment réfléchir pour que nous ayons une compréhension commune des dispositions du Code électoral ».
Selon lui, «47 représentants, c’est un souhait pour la clarification et la transparence mais ce n’est pas une obligation pour ces représentants d’être présents dans les bureaux de vote. C’est tout à fait différent de ce qui se passe pour la CENA dont la présence dans les bureaux de vote est un gage de régularité des élections ».
« Il appartient à ces organisations, coalitions, partis politiques de s’organiser pour assurer leur représentation à l’intérieur des bureaux de vote. Nous avons l’obligation d’avoir tous les représentants dans chaque bureau de vote. Pour les partis politiques représentants de coalitions, c’est une faculté, une preuve puisque cela dépend des moyens dont ils disposent pour veiller au déroulement du scrutin à l’intérieur du bureau de vote mais ce n’est pas une présence obligatoire à défaut de laquelle le scrutin est nul et de nul effet », relève-t-il.
« Nous sommes prêts. Depuis déjà les opérations de refonte et de révisions exceptionnelles, nous sommes à pied d’œuvre. Nous avons sur le terrain, tous les représentants de la CENA à l’intérieur du pays comme à l’extérieur », sert Doudou Ndir.
Le président de la CENA d’indiquer: «Nous organisons des rencontres comme celle d’aujourd’hui qui nous permettent avec nos démembrements pour ensemble voir comment réfléchir pour que nous ayons une compréhension commune des dispositions du Code électoral ».
Selon lui, «47 représentants, c’est un souhait pour la clarification et la transparence mais ce n’est pas une obligation pour ces représentants d’être présents dans les bureaux de vote. C’est tout à fait différent de ce qui se passe pour la CENA dont la présence dans les bureaux de vote est un gage de régularité des élections ».
« Il appartient à ces organisations, coalitions, partis politiques de s’organiser pour assurer leur représentation à l’intérieur des bureaux de vote. Nous avons l’obligation d’avoir tous les représentants dans chaque bureau de vote. Pour les partis politiques représentants de coalitions, c’est une faculté, une preuve puisque cela dépend des moyens dont ils disposent pour veiller au déroulement du scrutin à l’intérieur du bureau de vote mais ce n’est pas une présence obligatoire à défaut de laquelle le scrutin est nul et de nul effet », relève-t-il.
Autres articles
-
Gestion de la trésorerie : une perte nette de 410 769238 FCFA relevé (rapport)
-
Problèmes fonciers au Sénégal : « On ne peut imputer la responsabilité au régime sortant » (Ibrahima Bathily)
-
Absence de cadre juridique : PLAAF appelle à une action urgente pour clarifier le statut et les droits des lanceurs d'alerte
-
Présidentielle 2024 : les révélations de Abdoulaye Sow sur le différend entre Macky Sall et Amadou Ba
-
Litige foncier à Mbour 4 : les explications d’Abdoulaye Sow sur les hectares attribués à des sociétés et hommes politiques