Ce vendredi, les députés ont voté la levée de l'immunité parlementaire de Ndèye Saly Diop par 110 voix pour et 14 contre. Confrontée à des accusations d'enrichissement illicite et de complicité présumée dans le cadre du rapport de la Cour des comptes sur la gestion des fonds Covid-19, l'élue s'est longuement expliquée devant ses pairs, affirmant son innocence et exigeant que "justice soit faite".
"Je me présente aujourd'hui devant vous, l'âme sereine, portant la dignité d'une républicaine engagée qui a consacré 40 ans de sa vie à l'intérêt général, la justice sociale et à la protection des plus vulnérables et très souvent à des très hautes responsabilités dont 5 rangs comme ministres", a-t-elle déclaré d’entrée.
Avec "gravité" et la "conscience tranquille", elle a rejeté les accusations de détournement de deniers publics, estimant que ce dossier était devenu "à tort une affaire politique".
Se défendant avec véhémence, elle a martelé : "Je n'ai été ni complice, ni témoin passif de quelconque enrichissement illicite, ma vie est un livre ouvert, mon patrimoine connu, mon engagement constant. Les faits sont indiscutables".
Concernant les allégations de son directeur général de l’administration et de l’équipement (Dage), elle a rappelé : "En ma qualité de ministre, et conformément aux orientations du Conseil des ministres du 2 avril 2020, j'ai défini une stratégie humanitaire, urgente pour les enfants en situation de rue, mis en place d'un comité d'experts pour garantir la transparence des dépenses, veiller scrupuleusement à l'application des directives présidentielles. Résultat : 5089 enfants sont retirés de la rue, protégés, nourris et rendus à la chaleur de leur famille".
La député, qui se dit être "diffamée", a fermement insisté : "Il y en a eu aucun enrichissement, ni détournement, ni complicité, il y a eu une action humanitaire menée avec dévouement pour des enfants de notre nation".
La députée a réitéré sa confiance en la justice :"que la lumière soit faite, que les pièces justificatives soient examinées, que les bénéficiaires soient entendus. Je pense que la vérité triomphera".
"Je me présente aujourd'hui devant vous, l'âme sereine, portant la dignité d'une républicaine engagée qui a consacré 40 ans de sa vie à l'intérêt général, la justice sociale et à la protection des plus vulnérables et très souvent à des très hautes responsabilités dont 5 rangs comme ministres", a-t-elle déclaré d’entrée.
Avec "gravité" et la "conscience tranquille", elle a rejeté les accusations de détournement de deniers publics, estimant que ce dossier était devenu "à tort une affaire politique".
Se défendant avec véhémence, elle a martelé : "Je n'ai été ni complice, ni témoin passif de quelconque enrichissement illicite, ma vie est un livre ouvert, mon patrimoine connu, mon engagement constant. Les faits sont indiscutables".
Concernant les allégations de son directeur général de l’administration et de l’équipement (Dage), elle a rappelé : "En ma qualité de ministre, et conformément aux orientations du Conseil des ministres du 2 avril 2020, j'ai défini une stratégie humanitaire, urgente pour les enfants en situation de rue, mis en place d'un comité d'experts pour garantir la transparence des dépenses, veiller scrupuleusement à l'application des directives présidentielles. Résultat : 5089 enfants sont retirés de la rue, protégés, nourris et rendus à la chaleur de leur famille".
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