Le Hezbollah a été le premier à réagir au tir de roquettes depuis le Liban-Sud vers la Galilée. Le parti chiite a affirmé qu’il n’était pas impliqué dans cet incident et a réitéré son engagement à respecter le cessez-le-feu.
Une fois n’est pas coutume, les dirigeants libanais lui ont fait écho. À Paris, où il était en visite officielle, le président Joseph Aoun a déclaré que « tout indique » que « le Hezbollah n'est pas responsable » du dernier tir de roquettes.
L'armée libanaise a de son côté annoncé avoir localisé au nord du fleuve Litani, la position d'où sont parties les deux roquettes tirées vers la Galilée. Elle a ajouté qu’Israël avait pris comme « prétexte » cet incident « pour violer d’une manière flagrante la souveraineté du Liban et la sécurité de ses citoyens ».
« Civils et zones résidentielles »
Le Premier ministre, Nawaf Salam a pour sa part condamné les frappes israéliennes contre des « civils et des zones résidentielles où se trouvent des écoles et des universités ».
La prudence des dirigeants libanais intervient quelques jours avant une visite à Beyrouth de l’émissaire américaine, Morgan Ortagus, qui fait pression pour une normalisation des relations entre le Liban et Israël et réclame le désarmement du Hezbollah.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a assuré qu’Israël frappera « partout au Liban contre toute menace » et son ministre de la Défense Israël Katz a menacé de bombarder la banlieue sud une nouvelle fois.
Une fois n’est pas coutume, les dirigeants libanais lui ont fait écho. À Paris, où il était en visite officielle, le président Joseph Aoun a déclaré que « tout indique » que « le Hezbollah n'est pas responsable » du dernier tir de roquettes.
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« Civils et zones résidentielles »
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