« Il faudrait qu’une enquête soit ouverte sur les cas de torture », selon Alioune TINE, président de la Rencontre Africaine pour la Défense des droits de l’homme (Raddho) , sur le sujet de la libération des jeunes du mouvement du 23 juin (M23).
Plus loin dans les colonnes du journal « L’Observateur », il ajoute que « nous nous réjouissons profondément de la libération de ces jeunes, et nous félicitons chaleureusement Me Mame Adama Guèye qui a plaidé en leur faveur. Mais au niveau de la Raddho, nous avons été saisis de cas de torture de certains de ces jeunes en prison ».
« S’il est avéré qu’il y a des tortionnaires, qu’ils soient jugés conformément aux obligations internationales. C’est un processus de lutte contre l’impunité, il est évident que s’il y a impunité, nous pèserons de notre poids en demandant d’abord aux juridictions nationales d’agir, de même que les juridictions sous régionales telles que la CEDEAO », précise Alioune TINE avant d’informer que « d’ailleurs, nous sommes en procès contre le Sénégal devant la Cour de justice de la CEDEAO concernant les violences préélectorales ».
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