Le débat sur le respect ou non des Assises nationales s’est posé vendredi, lors du lancement du Tome 1 de «Convergence républicaine». En effet, pour Macky Sall, il a dépassé les recommandations desdites assises.
«Sur le plan de la gouvernance, nous sommes allés beaucoup plus loin que les assises. Nous avons créé des organes de contrôle qui n’étaient pas dans la charte, notamment l’Ofnac, la déclaration de patrimoine… », a-t-il déclaré. Et de poursuivre : «Donc nous n’avons aucune difficulté avec les assises nationales ; mais aussi, en tant qu’intellectuel, il ne faut pas en faire une Bible ou le Coran ou la Thora».
Macky Sall d’expliquer que les situations n’étant pas les mêmes, les mentalités doivent évoluer pour s’adapter aux réalités actuelles : «Au moment où les assises se tenaient, notre pays faisait face à des risques graves sur l’existence même de la République. Aussi, c’est le contexte qui peut marquer la pensée. La pensée peut évoluer et doit évoluer. Nous n’avons aucune difficulté pour continuer à réfléchir avec les tenants des assises. Il ne faut pas qu’il y ait une dichotomie entre les tenants des assises et la majorité présidentielle», précise-t-il.
Sur sa lancée, le Président Sall rappelle que les principales figures des Assises nationales, Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng, entre autres sont à ses côtés et par conséquent, il ne saurait oublier son contenu, d’autant plus que lui-même est signataire, même s’il l’a été tardivement. «Au moment des assises, nous étions à la phase terminale de notre séjour à l’ancien parti au pouvoir et nous avons suivi avec intérêt ce processus de transformation».
«Sur le plan de la gouvernance, nous sommes allés beaucoup plus loin que les assises. Nous avons créé des organes de contrôle qui n’étaient pas dans la charte, notamment l’Ofnac, la déclaration de patrimoine… », a-t-il déclaré. Et de poursuivre : «Donc nous n’avons aucune difficulté avec les assises nationales ; mais aussi, en tant qu’intellectuel, il ne faut pas en faire une Bible ou le Coran ou la Thora».
Macky Sall d’expliquer que les situations n’étant pas les mêmes, les mentalités doivent évoluer pour s’adapter aux réalités actuelles : «Au moment où les assises se tenaient, notre pays faisait face à des risques graves sur l’existence même de la République. Aussi, c’est le contexte qui peut marquer la pensée. La pensée peut évoluer et doit évoluer. Nous n’avons aucune difficulté pour continuer à réfléchir avec les tenants des assises. Il ne faut pas qu’il y ait une dichotomie entre les tenants des assises et la majorité présidentielle», précise-t-il.
Sur sa lancée, le Président Sall rappelle que les principales figures des Assises nationales, Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng, entre autres sont à ses côtés et par conséquent, il ne saurait oublier son contenu, d’autant plus que lui-même est signataire, même s’il l’a été tardivement. «Au moment des assises, nous étions à la phase terminale de notre séjour à l’ancien parti au pouvoir et nous avons suivi avec intérêt ce processus de transformation».
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