
Selon l’armée malienne qui a procédé à des frappes aériennes, des cadres d’un groupement jihadiste ont été « neutralisés ». Parmi eux, Samir Al-Bourhan, un Français d’origine tunisienne.
Ces frappes ont permis de neutraliser quelques cadres du GSIM » (Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans), principale alliance jihadiste au Sahel, liée à Al-Qaïda, « dont Samir Al-Bourhan, un cadre terroriste franco-tunisien, parlant français et arabe ».
L’armée dit avoir agi « sur la base de renseignements techniques bien précis faisant état d’un regroupement de terroristes », venus selon elle « pour remonter le moral des combattants » du GSIM et leur « apporter les soutiens financiers et logistiques tant attendus » après leur « cuisant revers de Moura ».
Avec Sud Ouest
Ces frappes ont permis de neutraliser quelques cadres du GSIM » (Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans), principale alliance jihadiste au Sahel, liée à Al-Qaïda, « dont Samir Al-Bourhan, un cadre terroriste franco-tunisien, parlant français et arabe ».
L’armée dit avoir agi « sur la base de renseignements techniques bien précis faisant état d’un regroupement de terroristes », venus selon elle « pour remonter le moral des combattants » du GSIM et leur « apporter les soutiens financiers et logistiques tant attendus » après leur « cuisant revers de Moura ».
Avec Sud Ouest
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