Le président malien s'est rendu sur les lieux du drame et s'est recueilli devant les tombes creusées à la hâte à quelques mètres de là où l'engin a explosé. Il s'exprimait hier, à la télévision nationale.
« Ces gens savent notre détermination la plus farouche, la plus énergique, à leur barrer la route. La montée en puissance réelle du G5 Sahel les a rendus littéralement fous. Boni hier, Soumpi aujourd'hui. Nous ne sommes pas dirigeants à être effrayés au point d'oublier notre mission qui est défendre par tous les moyens possibles et imaginables notre vaillant peuple malien, vaillant peuple du Sahel. »
Peu de temps après cette attaque, les femmes des militaires de Nampala, proche de la frontière mauritanienne, sont sorties dans les rues pour protester contre la mutation de leurs maris à Youwarou, dans le centre du Mali. Le camp militaire de Youwarou a lui aussi subi un assaut des terroristes, il y a quelques jours, que les militaires maliens sont parvenus à repousser.
Sur la vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, on peut entendre les femmes et les proches de militaires crier : « ou té ta », « ils n'iront pas » en langue locale. C'est la troisième fois en une semaine que des camps militaires sont visés par les terroristes.
« Ces gens savent notre détermination la plus farouche, la plus énergique, à leur barrer la route. La montée en puissance réelle du G5 Sahel les a rendus littéralement fous. Boni hier, Soumpi aujourd'hui. Nous ne sommes pas dirigeants à être effrayés au point d'oublier notre mission qui est défendre par tous les moyens possibles et imaginables notre vaillant peuple malien, vaillant peuple du Sahel. »
Peu de temps après cette attaque, les femmes des militaires de Nampala, proche de la frontière mauritanienne, sont sorties dans les rues pour protester contre la mutation de leurs maris à Youwarou, dans le centre du Mali. Le camp militaire de Youwarou a lui aussi subi un assaut des terroristes, il y a quelques jours, que les militaires maliens sont parvenus à repousser.
Sur la vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, on peut entendre les femmes et les proches de militaires crier : « ou té ta », « ils n'iront pas » en langue locale. C'est la troisième fois en une semaine que des camps militaires sont visés par les terroristes.
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