Devant les diplomates étrangers, le Premier ministre malien Choguel Maïga a clairement indiqué que la priorité de son gouvernement est d’abord l’organisation des Assises nationales. Ces rencontres vont commencer, à la base, pendant quelques semaines avant une grande réunion de toutes les forces vives de la nation à Bamako. « Il ne faut pas d’une transition bâclée » a-t-il notamment déclaré lors de la rencontre.
Il a ensuite, sans trop de précisions, donné la suite de son plan. Après les Assises nationales annoncées, il y a des réformes à mener. Et il faut les inscrire dans le marbre, a-t-il indiqué.
Une échéance difficile à tenir
C’est seulement après ces étapes que les élections auront lieu. Et pas de date pour le moment. Si les élections étaient maintenues fin février 2022, on voit mal comment elles peuvent se tenir puisque le processus n’a pas été lancé afin de respecter les préalables, les actes nécessaires à poser pour respecter la loi.
Comment le Premier ministre malien arrivera-t-il à convaincre ? Des partis politiques, et parmi eux des poids lourds, ont déjà annoncé qu’ils ne participeront pas aux Assises nationales, estimant que la priorité pour l’équipe de la transition, est l’organisation des élections fin février 2022 comme prévu.
Il a ensuite, sans trop de précisions, donné la suite de son plan. Après les Assises nationales annoncées, il y a des réformes à mener. Et il faut les inscrire dans le marbre, a-t-il indiqué.
Une échéance difficile à tenir
C’est seulement après ces étapes que les élections auront lieu. Et pas de date pour le moment. Si les élections étaient maintenues fin février 2022, on voit mal comment elles peuvent se tenir puisque le processus n’a pas été lancé afin de respecter les préalables, les actes nécessaires à poser pour respecter la loi.
Comment le Premier ministre malien arrivera-t-il à convaincre ? Des partis politiques, et parmi eux des poids lourds, ont déjà annoncé qu’ils ne participeront pas aux Assises nationales, estimant que la priorité pour l’équipe de la transition, est l’organisation des élections fin février 2022 comme prévu.
Autres articles
-
Guerre au Soudan: les États-Unis tentent de relancer les pourparlers de paix
-
Élections en Afrique du Sud: pourquoi l’ANC s'attaque au nom du parti de l’ex-président Jacob Zuma
-
Mali: les partis politiques, de tous bords, demandent un nouveau processus court de transition
-
RDC: nouveaux combats entre les milices progouvernementales et le M23 dans la zone de Goma
-
Devant le Conseil de sécurité, la cheffe de la Monusco tire la sonnette d'alarme sur la situation dans l'est de la RDC