La coordination des ONG internationales de Ménaka a frappé un grand coup en suspendant toutes les activités humanitaires un peu plus tôt dans la semaine, et ce pendant deux jours pour protester contre un énième braquage à main armée.
Le gouverneur de Ménaka, Daouda Maïga, a pris des mesures : un couvre-feu est désormais en vigueur de 20 h à 5 h du matin dans la ville.
Et les patrouilles communes associant deux groupes armés, le MSA et le Gatia, ainsi que les soldats de l'armée malienne ont repris. Elles avaient été arrêtées depuis août dernier, lorsque les ex-rebelles de la CMA étaient revenus dans la ville. C'est d'ailleurs depuis cette date que la situation a basculé.
Joint par téléphone, Daouda Maïga ne veut stigmatiser aucun belligérant. Il précise « que tous les groupes sont par définition source d'insécurité, car ils constituent une armée sans salaire », avec tous les problèmes que cela engendre.
Il appelle à l'accélération du processus de désarmement et surtout au cantonnement des groupes armés.
Le gouverneur de Ménaka, Daouda Maïga, a pris des mesures : un couvre-feu est désormais en vigueur de 20 h à 5 h du matin dans la ville.
Et les patrouilles communes associant deux groupes armés, le MSA et le Gatia, ainsi que les soldats de l'armée malienne ont repris. Elles avaient été arrêtées depuis août dernier, lorsque les ex-rebelles de la CMA étaient revenus dans la ville. C'est d'ailleurs depuis cette date que la situation a basculé.
Joint par téléphone, Daouda Maïga ne veut stigmatiser aucun belligérant. Il précise « que tous les groupes sont par définition source d'insécurité, car ils constituent une armée sans salaire », avec tous les problèmes que cela engendre.
Il appelle à l'accélération du processus de désarmement et surtout au cantonnement des groupes armés.
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