
Le Directeur du Centre d'études des sciences et techniques de l'information (Cesti), Mamadou Ndiaye a plaidé pour la construction de nouvelles infrastructures, lors de la cérémonie de remise de diplômes de la 50e promotion à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
« Je voudrais réitérer l'appel lancé ici l'année dernière aux diplômés de la 49e promotion. Le Cesti a besoin de vous pour la réalisation de son plan d'expansion. Ma conviction est que le Cesti de demain ne se fera pas sans les diplômés du Cesti. Je suis heureux de vous annoncer que dans quelques jours, l'Amical des anciens du Cesti qui vient de renouveler son bureau va lancer une collecte de fonds pour la réalisation des travaux », a fait savoir M. Ndiaye.
« Nous avons de bons résultats parce que nous sommes une équipe. Cette année encore, grâce à l'investissement des formateurs, du personnel et des partenaires publics ou privés, le Cesti se porte bien. Le climat social est apaisé, la gestion participative est institutionnalisée. L'excellente qualité de formation en journalisme se confirme de jour en jour (...) Notre vision c'est de former les meilleurs journalistes, techniciens et professionnels de la communication. Nous sommes passés de 2 formations en 2020, à 6 formations en 2023. Conséquences logiques, les effectifs du Cesti sont passés de 159 étudiants en 202, à 330 en 2023 », a-t-il ajouté.
De ce fait, le directeur du Cesti en conclut que l’école ne peut plus contenir autant de programmes et de formations. Il faut donc la construction de nouvelles infrastructures dont le coût est estimé à environ 2 milliards et demi. « Vous conviendrez avec moi que le Cesti actuel ne peut plus contenir autant de programmes, de formations. Nous sommes à l'étroit et le bâtiment est devenu vétuste. A partir de l'année prochaine, nous aurons des problèmes de disponibilité des salles de classe. Il nous faudra aller vers la construction de nouvelles infrastructures à hauteur de la renommée de notre établissement pour répondre à la demande du marché. Ce nouveau Cesti coûte environ 2 milliards et demi. C'est beaucoup pour un établissement qui fonctionne avec un petit budget mais nous comptons sur l'État du Sénégal et les diplômés pour y arriver », -t-il plaidé.
Cette promotion, au total 33 journalistes, est composée de journalistes spécialisés en radio, télévision et presse écrite, et a pour parrain feu Jean Meissa Diop, diplômé du CESTI, ancien rédacteur en chef de Walfadjri et directeur de publication du défunt quotidien Walf Grand’Place.
« Je voudrais réitérer l'appel lancé ici l'année dernière aux diplômés de la 49e promotion. Le Cesti a besoin de vous pour la réalisation de son plan d'expansion. Ma conviction est que le Cesti de demain ne se fera pas sans les diplômés du Cesti. Je suis heureux de vous annoncer que dans quelques jours, l'Amical des anciens du Cesti qui vient de renouveler son bureau va lancer une collecte de fonds pour la réalisation des travaux », a fait savoir M. Ndiaye.
« Nous avons de bons résultats parce que nous sommes une équipe. Cette année encore, grâce à l'investissement des formateurs, du personnel et des partenaires publics ou privés, le Cesti se porte bien. Le climat social est apaisé, la gestion participative est institutionnalisée. L'excellente qualité de formation en journalisme se confirme de jour en jour (...) Notre vision c'est de former les meilleurs journalistes, techniciens et professionnels de la communication. Nous sommes passés de 2 formations en 2020, à 6 formations en 2023. Conséquences logiques, les effectifs du Cesti sont passés de 159 étudiants en 202, à 330 en 2023 », a-t-il ajouté.
De ce fait, le directeur du Cesti en conclut que l’école ne peut plus contenir autant de programmes et de formations. Il faut donc la construction de nouvelles infrastructures dont le coût est estimé à environ 2 milliards et demi. « Vous conviendrez avec moi que le Cesti actuel ne peut plus contenir autant de programmes, de formations. Nous sommes à l'étroit et le bâtiment est devenu vétuste. A partir de l'année prochaine, nous aurons des problèmes de disponibilité des salles de classe. Il nous faudra aller vers la construction de nouvelles infrastructures à hauteur de la renommée de notre établissement pour répondre à la demande du marché. Ce nouveau Cesti coûte environ 2 milliards et demi. C'est beaucoup pour un établissement qui fonctionne avec un petit budget mais nous comptons sur l'État du Sénégal et les diplômés pour y arriver », -t-il plaidé.
Cette promotion, au total 33 journalistes, est composée de journalistes spécialisés en radio, télévision et presse écrite, et a pour parrain feu Jean Meissa Diop, diplômé du CESTI, ancien rédacteur en chef de Walfadjri et directeur de publication du défunt quotidien Walf Grand’Place.
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