Le 29 juin, une opération de déplacement de populations installées sur un terrain privé de la capitale avait dégénéré.
Au cours des jours suivant, 13 membres de l'ONG IRA avaient été arrêtés, les autorités les accusant d'être à l'origine des heurts qui ont fait plusieurs blessés parmi les policiers.
Ce n'est que le 12 juillet qu'ils avaient finalement été entendus, au milieu de la nuit, par un procureur qui les a inculpés en flagrance de plusieurs chefs dont rébellion et attroupement armé.
D'après les témoignages que nous avons recueillis, pendant une période de 3 à 12 jours, ils ont été détenus au secret.
Les militants devraient comparaitre le 3 août devant la cour criminelle de Nouakchott.
Au cours des jours suivant, 13 membres de l'ONG IRA avaient été arrêtés, les autorités les accusant d'être à l'origine des heurts qui ont fait plusieurs blessés parmi les policiers.
Ce n'est que le 12 juillet qu'ils avaient finalement été entendus, au milieu de la nuit, par un procureur qui les a inculpés en flagrance de plusieurs chefs dont rébellion et attroupement armé.
D'après les témoignages que nous avons recueillis, pendant une période de 3 à 12 jours, ils ont été détenus au secret.
Les militants devraient comparaitre le 3 août devant la cour criminelle de Nouakchott.
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