Le ministre de l'Agriculture et de l'Equipement rural réagit suite à l'alerte sonnée par le Conseil national de la sécurité alimentaire qui a révélé qu'il y aura plus de 380.000 personnes qui seront menacées de famine d'ici le premier semestre de l'année 2019. Papa Abdoulaye Seck qui reconnait ce fait, souligne qu'il ne remet pas en cause les efforts du gouvernement dans le domaine de l'agriculture
"Quand une agriculture est en progrès cela ne veut pas dire que partout nous avons une bonne campagne agricole", précise d'emblée le ministre de l'Agriculture. Dr Papa Abdoulaye Seck est d'avis qu'" il y a toujours des poches d'insécurité parce qu'il n'y a pas une répartition spatio-temporelle équitable de la pluviométrie".
Selon lui, "il y a beaucoup de facteurs qui entrent en jeu. On peut avoir une agriculture qui fait des progrès et avoir des poches d'insécurité, c'est comme ça que ça marche dans le monde". Et, de persister : " Vous allez dans n'importe quel pays dans le monde ça se passe comme ça".
Face à cette situation inquiétante, le ministre d'attirer l'attention sur les solutions à prendre. "Il ne faut pas inventer des solutions. A chaque problème, il y a sa solution. On ne décrète jamais une stratégie, il faut s'appuyer sur le concret et à la bonne stratégie. Parce que deux campagnes agricoles se suivent mais ne se ressemblent jamais", lance-t-il en marge de l'atelier de validation de la lettre de politique sectorielle de développement de l'agriculture qui s'est tenu à à Diamniadio.
"Quand une agriculture est en progrès cela ne veut pas dire que partout nous avons une bonne campagne agricole", précise d'emblée le ministre de l'Agriculture. Dr Papa Abdoulaye Seck est d'avis qu'" il y a toujours des poches d'insécurité parce qu'il n'y a pas une répartition spatio-temporelle équitable de la pluviométrie".
Selon lui, "il y a beaucoup de facteurs qui entrent en jeu. On peut avoir une agriculture qui fait des progrès et avoir des poches d'insécurité, c'est comme ça que ça marche dans le monde". Et, de persister : " Vous allez dans n'importe quel pays dans le monde ça se passe comme ça".
Face à cette situation inquiétante, le ministre d'attirer l'attention sur les solutions à prendre. "Il ne faut pas inventer des solutions. A chaque problème, il y a sa solution. On ne décrète jamais une stratégie, il faut s'appuyer sur le concret et à la bonne stratégie. Parce que deux campagnes agricoles se suivent mais ne se ressemblent jamais", lance-t-il en marge de l'atelier de validation de la lettre de politique sectorielle de développement de l'agriculture qui s'est tenu à à Diamniadio.
Autres articles
-
Pêche artisanale : l’Unapas entre le marteau et l'enclume des navires européens et chinois
-
L’exécution des lois de finances pour l’année 2018 : la Cour relève un déficit de 549,55 milliards de F CFA
-
AIBD : Cheikh Bamba Dièye compte « traduire en acte concret » la vision du président de la République
-
Sortie de piste de l’avion Transair à l’AIBD : Une enquête technique en cours pour « déterminer les causes »
-
RTS : Pape Alé Niang tend la main aux journalistes qui ont quitté la boîte