
Le ministre de la décentralisation, Aliou Sow qui est accusé dans cette affaire de Sangalkam pour avoir été, avec le Président Abdoulaye Wade, à l’origine des découpages administratifs, n’envisage pas de démissionner. Lors d’un point de presse tenu ce mardi 31 mai, il a indiqué qu’il ne trouve pas l’opportunité de prendre une telle décision. «On ne me dicte pas ce que je dois faire sur des choses qui me sont propres. Quand je l’avais senti en 2007 en tant que ministre du gouvernement, je l’avais fait» a-t-il dit dans les colonnes du journal le quotidien. Et d’ajouter: «Je ne vais pas tomber dans le piège des non-dits de cette affaire. Je démissionnerais si cela m’impose».
Autres articles
-
Mpox : le ministère de la Santé active l’alerte sanitaire face à la menace régionale
-
Vol à l’arraché à Cambérène : trois (3) individus arrêtés après une tentative de fuite par la mer
-
A l’élite intellectuelle sénégalaise qui cautionne la révolution, vous avez trahi la raison (Par Dr Pascal OUDIANE)
-
Collision entre trois véhicules à Lalane : le bilan fait un mort et sept blessés dont deux graves
-
Série de cambriolages à Zac Mbao : un suspect arrêté après avoir oublié son téléphone sur les lieux