Ce projet initié sous le mandat de l’ancien président nigérian Jonathan Goodluck a été rendu possible grâce à un prêt d’un montant de 849 millions $ contracté auprès d’une banque chinoise.
Cette infrastructure va désormais renforcer le trafic ferroviaire au Nigéria. Roulant à une vitesse maximale de 150km/h, ce TGV reliera pour l’instant Abuja, la capitale, à la ville de Kaduna située au nord-ouest du pays. « La mise en service du train Abuja-Kaduna offre une alternative viable pour le transport entre la capitale fédérale et l’Etat de Kaduna, un couloir au potentiel important pour les industries, les activités agricoles et la circulation des personnes, » a commenté le président nigérian.
S’il offre la rapidité, le TGV n’est généralement pas à la portée de toutes les bourses. Mais les autorités nigérianes ont décidé de le rendre plus accessible. Ainsi, le coût du ticket pour un voyageur de première classe est de 2 euros (1300 FCFA) et de 1,50 euro (975 FCFA) pour celui de seconde classe.
Les autorités nigérianes envisagent d’élargir prochainement le réseau TGV à d’autres villes du pays.
Cette infrastructure va désormais renforcer le trafic ferroviaire au Nigéria. Roulant à une vitesse maximale de 150km/h, ce TGV reliera pour l’instant Abuja, la capitale, à la ville de Kaduna située au nord-ouest du pays. « La mise en service du train Abuja-Kaduna offre une alternative viable pour le transport entre la capitale fédérale et l’Etat de Kaduna, un couloir au potentiel important pour les industries, les activités agricoles et la circulation des personnes, » a commenté le président nigérian.
S’il offre la rapidité, le TGV n’est généralement pas à la portée de toutes les bourses. Mais les autorités nigérianes ont décidé de le rendre plus accessible. Ainsi, le coût du ticket pour un voyageur de première classe est de 2 euros (1300 FCFA) et de 1,50 euro (975 FCFA) pour celui de seconde classe.
Les autorités nigérianes envisagent d’élargir prochainement le réseau TGV à d’autres villes du pays.
Autres articles
-
RDC: les bataillons «Jungle», des spécialistes du combat en forêt équatoriale formés par la France
-
«Les Béninois ont faim»: au Bénin, plusieurs rassemblements pour protester contre la vie chère
-
Tchad: le Nord, grand oublié de la campagne présidentielle
-
Burkina Faso: une organisation de la société civile demande à la CPI d'enquêter sur la situation sécuritaire
-
Ghana: à Kumasi, l’émouvant retour d’objets sacrés ashantis pillés il y a 150 ans