
Ousmane Sonko, lors de sa conférence publique le 09 juin au Grand théâtre n'a pas omis de parler du paiement des impôts de la presse. Le Premier ministre est catégorique sur cette question. Car pour lui, "ces actes impunis doivent cesser". Autrement dit, le non paiement des impôts de la presse. Sur la question, il va jusqu'à évoquer les dispositifs du code pénal. "Le Code général des impôts dit que l’on doit les poursuivre pénalement", a déclaré Ousmane Sonko. Par ce discours, monsieur Sonko sonne la fin du "favoritisme" déclarant que la loi doit être appliquée sans "distinction".
Dans un autre registre, l'ancien maire de Ziguinchor a évoqué selon ses termes une "culture de l'impunité" qui doit désormais cesser. " Il y a des moins que rien qui assument leur vol et veulent que personne ne parle et qu’on leur pardonne tout. Ça doit cesse", a dit Sonko.
"Chaque jour, tu mets à la une dans tes médias qu’untel a détourné, qu’un autre a volé ou que l’on a épinglé une autre personne. À chaque fin du mois, ils déduisent des salaires un montant pour les mettre dans les caisses de l’État. Et cet argent des impôts, ils le mettent dans leur poche. Ça, c’est des détournements de deniers publics", a fait savoir le Premier ministre. Pour qui, ce sont des pratiques frauduleuses très répandues dans la presse.
Dans un autre registre, l'ancien maire de Ziguinchor a évoqué selon ses termes une "culture de l'impunité" qui doit désormais cesser. " Il y a des moins que rien qui assument leur vol et veulent que personne ne parle et qu’on leur pardonne tout. Ça doit cesse", a dit Sonko.
"Chaque jour, tu mets à la une dans tes médias qu’untel a détourné, qu’un autre a volé ou que l’on a épinglé une autre personne. À chaque fin du mois, ils déduisent des salaires un montant pour les mettre dans les caisses de l’État. Et cet argent des impôts, ils le mettent dans leur poche. Ça, c’est des détournements de deniers publics", a fait savoir le Premier ministre. Pour qui, ce sont des pratiques frauduleuses très répandues dans la presse.
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