Le président du comité « Initiative d’eau à Touba » avait raison de craindre une pénurie du liquide précieux durant le Magal. Malgré les assurances du ministre de l'Assainissement et de l'Hydraulique Pape Diouf que toutes les mesures ont été prises pour éviter pareil cas, les faits ont confirmé ses craintes car, des milliers de fidèles ont vécu l’enfer du Magal sans eau. Les dispositifs pris par les autorités pour alimenter la cité religieuse en eau potable n’a pas fait ses preuves. De plus, cela allait conduire au pire. En effet, sur les 140 citernes d’eau convoyées à Touba pour les raisons du Magal, 33 ont été retournées à Dakar par la commission technique parce que n’ayant pas rempli toutes les conditions d’hygiéniques.
Le constat était unanime dans les quartiers périphériques de Touba, il y avait un manque criard d’eau. Une situation que dénonce le comité « d’Initiative d’eau à Touba » qui avait pourtant averti les autorités sur la question. Les membres de ce comité fustigent le fait qu’ils ne soient pas associés dans la gestion de l’eau. « Pour cette année, le ministre de l’Hydraulique ne nous a pas associés sur la collecte et le dispatching des camions pour la couverture en eau à Touba. Hors du temps du ministre Oumar Gueye, nous étions toujours associés ».
Pour le président de la commission culture et communication du grand Magal dans la presse du jour, serigne Abdou Lahad Mbacké « Gaindé Fatma », « ce ne sont pas des camions-citernes encore moins des bâches à eau qui vont permettre une solution définitive ».
Le constat était unanime dans les quartiers périphériques de Touba, il y avait un manque criard d’eau. Une situation que dénonce le comité « d’Initiative d’eau à Touba » qui avait pourtant averti les autorités sur la question. Les membres de ce comité fustigent le fait qu’ils ne soient pas associés dans la gestion de l’eau. « Pour cette année, le ministre de l’Hydraulique ne nous a pas associés sur la collecte et le dispatching des camions pour la couverture en eau à Touba. Hors du temps du ministre Oumar Gueye, nous étions toujours associés ».
Pour le président de la commission culture et communication du grand Magal dans la presse du jour, serigne Abdou Lahad Mbacké « Gaindé Fatma », « ce ne sont pas des camions-citernes encore moins des bâches à eau qui vont permettre une solution définitive ».
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