Dans le district de Columbia, les républicains sont tellement peu nombreux qu’ils ont un seul bureau de vote, installé pour trois jours dans un grand hôtel du centre-ville. C’est là que Nikki Haley, dernière adversaire de Donald Trump, est venu rencontrer les électeurs locaux, en expliquant qu’avec l'ancien pésident, la défaite est assurée.
« Combien de fois faudra-t-il que nous perdions avant de commencer à nous dire que c’est peut-être Donald Trump le problème ? » lance-t-elle. Le succès est immédiat et parmi les gens qui applaudissent, il y a Kris Persinger, qui travaille dans la finance et qui n’est pourtant pas un habitué. « Je ne l’avais jamais vue. C’est mon premier événement avec elle. Et elle a bien dit que Donald Trump ne pense qu’à lui et pas aux gens dans ses déclarations et ses idées. Et c’est notamment pour ça que j’ai applaudi. »
Patrick Wohl travaille dans l’industrie. Et comme beaucoup de ceux qui continuent à soutenir Nikki Haley malgré ses défaites successives, il a une raison bien claire : « Je veux quelqu'un qui ne soit pas Trump (rires). N'importe qui, mais pas Trump. Je pense que notre pays mérite mieux. Je veux quelqu'un que nos enfants peuvent respecter. Et ce n'est pas Trump. »
Ces républicains anti-Trump sont clairement minoritaires dans le parti. Mais être en minorité, les républicains de Washington, en ont l’habitude. En 2020, Joe Biden avait raflé 93% des voix dans la capitale fédérale.
« Combien de fois faudra-t-il que nous perdions avant de commencer à nous dire que c’est peut-être Donald Trump le problème ? » lance-t-elle. Le succès est immédiat et parmi les gens qui applaudissent, il y a Kris Persinger, qui travaille dans la finance et qui n’est pourtant pas un habitué. « Je ne l’avais jamais vue. C’est mon premier événement avec elle. Et elle a bien dit que Donald Trump ne pense qu’à lui et pas aux gens dans ses déclarations et ses idées. Et c’est notamment pour ça que j’ai applaudi. »
Patrick Wohl travaille dans l’industrie. Et comme beaucoup de ceux qui continuent à soutenir Nikki Haley malgré ses défaites successives, il a une raison bien claire : « Je veux quelqu'un qui ne soit pas Trump (rires). N'importe qui, mais pas Trump. Je pense que notre pays mérite mieux. Je veux quelqu'un que nos enfants peuvent respecter. Et ce n'est pas Trump. »
Ces républicains anti-Trump sont clairement minoritaires dans le parti. Mais être en minorité, les républicains de Washington, en ont l’habitude. En 2020, Joe Biden avait raflé 93% des voix dans la capitale fédérale.
Autres articles
-
Inde: une bousculade dans une gare de New Delhi tue une vingtaine de voyageurs
-
Intelligence artificielle: la Corée du Sud suspend les téléchargements de DeepSeek
-
Conférence de Munich: le discours à charge du vice-président américain vis-à-vis des alliés européens
-
États-Unis: le département d'État va acheter pour 400 millions de dollars de véhicules Tesla en 2025
-
Plusieurs ouvriers tués dans une attaque au Pakistan