La cour d’appel a suivi les réquisitions du parquet : elle acquitte les accusés concernant la détention d’armes de guerre. Mais elle confirme les autres charges, à savoir la « complicité d’actes terroristes » et « complicité d’assassinat ».
La cour d’appel confirme la condamnation à une peine de prison à vie pour les 4 accusés : il y a là, un chauffeur, une personne ayant hébergé le cerveau de l’attentat et deux personnes accusées d’avoir aidé au repérage des lieux et au convoyage des armes.
À l’énoncé de ce verdict, le quatre accusés étaient effondrés. « Je ne suis pas un terroriste ! », a crié l’un d’eux, au moment de quitter le tribunal, sous escorte policière.
Leur avocate, Me Térémé Diaby estime qu’il n’a pas été prouvé que ses clients avaient connaissance du projet d’attentat, fomenté par Kounta Dallah, le cerveau de cette opération, lors de leur prise de contact.
La défense a l'intention de se pourvoir en cassation.
Les parties civiles expriment leur soulagement. Me Amadou Camara demande à l’État de se porter garant et de trouver les fonds nécessaires pour indemniser les victimes des attentats terroristes. En effet, en première instance, le tribunal avait établi entre 10 et 30 millions de FCFA, le montant des réparations à verser à chaque victime. Mais ces fonds ne sont pas disponibles, déplore l’avocat des parties civiles.
La cour d’appel confirme la condamnation à une peine de prison à vie pour les 4 accusés : il y a là, un chauffeur, une personne ayant hébergé le cerveau de l’attentat et deux personnes accusées d’avoir aidé au repérage des lieux et au convoyage des armes.
À l’énoncé de ce verdict, le quatre accusés étaient effondrés. « Je ne suis pas un terroriste ! », a crié l’un d’eux, au moment de quitter le tribunal, sous escorte policière.
Leur avocate, Me Térémé Diaby estime qu’il n’a pas été prouvé que ses clients avaient connaissance du projet d’attentat, fomenté par Kounta Dallah, le cerveau de cette opération, lors de leur prise de contact.
La défense a l'intention de se pourvoir en cassation.
Les parties civiles expriment leur soulagement. Me Amadou Camara demande à l’État de se porter garant et de trouver les fonds nécessaires pour indemniser les victimes des attentats terroristes. En effet, en première instance, le tribunal avait établi entre 10 et 30 millions de FCFA, le montant des réparations à verser à chaque victime. Mais ces fonds ne sont pas disponibles, déplore l’avocat des parties civiles.
Autres articles
-
Sommet de l'AES: absence imprévue du président burkinabè Ibrahim Traoré au premier jour
-
Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique
-
Guinée: à Kindia, les citoyens espèrent le retour des libertés publiques après l'élection présidentielle
-
Mali: ouverture du sommet des chefs d’État de l'AES pour renforcer la coopération régionale
-
Centrafrique: les projets de cryptomonnaie ont surtout favorisé le crime organisé, selon un rapport





Sommet de l'AES: absence imprévue du président burkinabè Ibrahim Traoré au premier jour


