Les enseignants avaient menacé l’Etat du Sénégal. A l’origine, ils réclamaient le respect des accords, le paiement des salaires et la régularisation des anciens contractuels. Suffisant pour d’aucuns de dire que « le système éducatif serait dans tous ses états et des risques de perturbations pour la rentée 2011-2012 seraient en vues.
Ce matin, à l’école Ndiarka Diagne, de Guédiawaye, l’ambiance était au rendez-vous. Les professeurs se sont presque retrouvés. D’aucuns, ont découvert leur nouvelle classe, pour d’autres, l’heure est au réglage. Certains aussi ont préféré ne pas répondre à l’appel. Le tout, pour un respect du mot d’ordre de boycott lancé récemment. Même son de cloche au niveau de Cem Joseph Corréa A. Ici, le directeur distribue les emploies du temps aux professeurs présents. « Nous nous attelons à leur remettre leur fiches et on attend impatiemment le retour des élèves » lance le directeur. Avant d’ajouter que « Certes il y a eu des absents. Surement la grève ! ». Au niveau du Cem Banque Islamique, l’heure est aux réglages avec des réunions. Même constat, l’appel au boycott semble être entendu.
Autre lieu, le lycée Seydina Limamoulaye. Là, ce sont des tentes érigées au niveau du terrain de basket étant donné que l’établissement connait des travaux de réfection.
Autre facteur, les inondations. Qui continuent encore de plomber l’ouverture des classes prévue ce jeudi pour les élèves. Des eaux nauséabondes occupent l’enceinte de l’école Mahamadane Fall sise dans la commune de Wakhinane nimzatt. De même qu’au niveau de Diamageune, un investissement humain est prévu pour évacuer les eaux, d’ici jeudi.
Ce matin, à l’école Ndiarka Diagne, de Guédiawaye, l’ambiance était au rendez-vous. Les professeurs se sont presque retrouvés. D’aucuns, ont découvert leur nouvelle classe, pour d’autres, l’heure est au réglage. Certains aussi ont préféré ne pas répondre à l’appel. Le tout, pour un respect du mot d’ordre de boycott lancé récemment. Même son de cloche au niveau de Cem Joseph Corréa A. Ici, le directeur distribue les emploies du temps aux professeurs présents. « Nous nous attelons à leur remettre leur fiches et on attend impatiemment le retour des élèves » lance le directeur. Avant d’ajouter que « Certes il y a eu des absents. Surement la grève ! ». Au niveau du Cem Banque Islamique, l’heure est aux réglages avec des réunions. Même constat, l’appel au boycott semble être entendu.
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