
Mademba Sock est revenu ce matin, en marge de la conférence de presse, organisée par le Conseil économique et social (C.E.S), sur les nouveaux remous syndicaux notamment dans le secteur de l’éducation.
A en croire le syndicaliste qui siège actuellement au Conseil économique et social, ces remous sont normaux du fait que les demandes qui sont très fortes sont en déphasage avec la satisfaction. «Je pense que la satisfaction est en déphasage entre les besoins et les problèmes», a justifié le Secrétaire général de l’Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal
Cette ébullition du mouvement syndical n’émeut pas Mademba Sock qui estime que la revendication est consubstantielle à la nature humaine. «Je crois que le mouvement syndical a toujours eu ses moments d’ébullition», a dit Mademba Sock qui estime que la principale question qui est posée est de savoir jusqu’où ce bouillonnement revendicatif peut permettre de satisfaire les revendications.
Pour lui, il faut suivre les dispositions légales pour éviter les grèves. «Je pense qu’au moment où les dispositions légales permettent d’avoir une petite période pour examiner cette question, il faut arriver à trouver des solutions avant qu’on en arrive à la grève», a conseillé Mademba Sock qui poursuit que «la question est de savoir jusqu’où le gouvernement est en mesure de satisfaire les sollicitations».
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A en croire le syndicaliste qui siège actuellement au Conseil économique et social, ces remous sont normaux du fait que les demandes qui sont très fortes sont en déphasage avec la satisfaction. «Je pense que la satisfaction est en déphasage entre les besoins et les problèmes», a justifié le Secrétaire général de l’Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal
Cette ébullition du mouvement syndical n’émeut pas Mademba Sock qui estime que la revendication est consubstantielle à la nature humaine. «Je crois que le mouvement syndical a toujours eu ses moments d’ébullition», a dit Mademba Sock qui estime que la principale question qui est posée est de savoir jusqu’où ce bouillonnement revendicatif peut permettre de satisfaire les revendications.
Pour lui, il faut suivre les dispositions légales pour éviter les grèves. «Je pense qu’au moment où les dispositions légales permettent d’avoir une petite période pour examiner cette question, il faut arriver à trouver des solutions avant qu’on en arrive à la grève», a conseillé Mademba Sock qui poursuit que «la question est de savoir jusqu’où le gouvernement est en mesure de satisfaire les sollicitations».
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