Le créateur de contenu mondial Khaby Lame est actuellement en visite dans son Sénégal natal pour découvrir les initiatives de l'UNICEF en faveur des enfants dans les domaines de la santé, de l'éducation, de la protection et du changement climatique. Ce vendredi, il a participé à un panel à Dakar, aux côtés de créateurs de contenu et d'acteurs engagés pour l'amélioration des conditions de vie des enfants au Sénégal.
L'importance des réseaux sociaux dans l'action sociale
Nafi Guèye, fondatrice de l'association "J'existe", qui milite pour l'enregistrement des enfants à l'état civil, a souligné l'impact des réseaux sociaux dans son combat. « De nombreuses personnes au Sénégal n'ont pas d'acte de naissance. Nous utilisons les réseaux sociaux pour sensibiliser et atteindre directement notre cible », a-t-elle expliqué.
De son côté, Mamadou Diagne, journaliste à la cellule numérique de la RTS, mise sur l'innovation numérique pour informer et sensibiliser les jeunes. « Grâce au numérique, nous pouvons offrir une information fiable et rapide. Il est important de collaborer avec les influenceurs et créateurs de contenu pour mieux sensibiliser la jeunesse », a-t-il souligné.
Khaby Lame : un silence qui parle à tous
Avec plus de 162 millions d'abonnés sur TikTok, Khaby Lame a partagé les raisons derrière son style unique. « Mon silence est un langage universel qui permet à tout le monde de comprendre mes vidéos, quelle que soit leur langue », a expliqué le sénégalo-italien de 24 ans.
En tant qu'ambassadeur de bonne volonté de l'UNICEF, il souhaite aller plus loin dans son engagement. « Mon objectif est de construire des hôpitaux et des écoles pour offrir un avenir meilleur aux enfants, ici au Sénégal et ailleurs. J'ai déjà distribué des fournitures scolaires, mais je veux faire encore plus », a-t-il confié.
Sophie Guèye, fondatrice de "Les Racines de l'Espoir", œuvre pour la construction d'écoles destinées aux enfants marginalisés et en situation difficile. « Nous avons bâti la Maison de l'Espoir grâce à un élan de solidarité. Notre objectif est de leur offrir un cadre éducatif et médical adapté. Je me suis également engagé à construire l'école de l'espoir pour aider les enfants marginalisés et en situation difficile
Mamadou Diakhaté, alias Niintche, enseignant engagé et fondateur de Simple Action Citoyenne (SAC), utilise les réseaux sociaux pour financer des projets éducatifs. « J'ai rénové plusieurs écoles grâce à mon engagement et aux dons collectés via les plateformes numériques. Grâce à l'engagement citoyen, nous avons rénové plusieurs écoles. Mon prochain projet est la construction de toilettes connectées avec des forages », a-t-il annoncé.
Cet échange a mis en lumière l'impact du numérique et de l'engagement communautaire dans la lutte pour l'amélioration des conditions de vie des enfants, une cause désormais portée par Khaby Lame avec l'UNICEF.
L'importance des réseaux sociaux dans l'action sociale
Nafi Guèye, fondatrice de l'association "J'existe", qui milite pour l'enregistrement des enfants à l'état civil, a souligné l'impact des réseaux sociaux dans son combat. « De nombreuses personnes au Sénégal n'ont pas d'acte de naissance. Nous utilisons les réseaux sociaux pour sensibiliser et atteindre directement notre cible », a-t-elle expliqué.
De son côté, Mamadou Diagne, journaliste à la cellule numérique de la RTS, mise sur l'innovation numérique pour informer et sensibiliser les jeunes. « Grâce au numérique, nous pouvons offrir une information fiable et rapide. Il est important de collaborer avec les influenceurs et créateurs de contenu pour mieux sensibiliser la jeunesse », a-t-il souligné.
Khaby Lame : un silence qui parle à tous
Avec plus de 162 millions d'abonnés sur TikTok, Khaby Lame a partagé les raisons derrière son style unique. « Mon silence est un langage universel qui permet à tout le monde de comprendre mes vidéos, quelle que soit leur langue », a expliqué le sénégalo-italien de 24 ans.
En tant qu'ambassadeur de bonne volonté de l'UNICEF, il souhaite aller plus loin dans son engagement. « Mon objectif est de construire des hôpitaux et des écoles pour offrir un avenir meilleur aux enfants, ici au Sénégal et ailleurs. J'ai déjà distribué des fournitures scolaires, mais je veux faire encore plus », a-t-il confié.
Sophie Guèye, fondatrice de "Les Racines de l'Espoir", œuvre pour la construction d'écoles destinées aux enfants marginalisés et en situation difficile. « Nous avons bâti la Maison de l'Espoir grâce à un élan de solidarité. Notre objectif est de leur offrir un cadre éducatif et médical adapté. Je me suis également engagé à construire l'école de l'espoir pour aider les enfants marginalisés et en situation difficile
Mamadou Diakhaté, alias Niintche, enseignant engagé et fondateur de Simple Action Citoyenne (SAC), utilise les réseaux sociaux pour financer des projets éducatifs. « J'ai rénové plusieurs écoles grâce à mon engagement et aux dons collectés via les plateformes numériques. Grâce à l'engagement citoyen, nous avons rénové plusieurs écoles. Mon prochain projet est la construction de toilettes connectées avec des forages », a-t-il annoncé.
Cet échange a mis en lumière l'impact du numérique et de l'engagement communautaire dans la lutte pour l'amélioration des conditions de vie des enfants, une cause désormais portée par Khaby Lame avec l'UNICEF.
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