Figurant parmi les premiers soutiens de Macky Sall, d’abord au sein de la coalition Macky 2012, puis dans la coalition Benno bokk yaakaar, Jean Paul Dias vient de rompre avec le chef de file de l’Alliance pour la république (Apr).
«Le Bcg décide souverainement et en toute indépendance de se joindre aux signataires de la coalition Manko Taxawu Senegaal dans le cadre de la participation du parti aux élections législatives de 2017», révèle le communiqué du Bloc des centristes gaïndé (BCG) annonçant leur départ de la coalition présidentielle.
Expliquant leurs motivations, Dias-père et Cie disent vouloir éviter la «reconduction d’une Assemblée nationale asservie face à l’Exécutif et au judiciaire» ; mais aussi, lutter contre la «persistance de l’instrumentalisation, de la manipulation de la Justice contre de dignes concitoyens dans le seul but de règlements de comptes politiciens vis à vis de ceux qui osent manifester une quelconque ambition politique démocratique pour le Sénégal, le cas le plus significatif étant celui de la détention arbitraire du maire de dénoncé par toute l’Afrique et par le monde entier. Le Sénégal officiel se couvrant de honte».
Les centristes affirment avoir rejoint les rangs de l’opposition, en droite ligne de leur conviction de doter le Sénégal d’un parlement qui représente véritablement les populations sénégalaises.
Ainsi, la coalition Manko Taxawu Senegaal s’agrandit au détriment de Benno Bokk Yaakaar, après avoir noté l’arrivée de Serigne Mansour Sy Djamil, Hélène Tine, et Jean Paul Dias. Et, selon les membres de cette coalition lancée par 10 ténors de l’opposition, cette saignée va se poursuivre.
«Le Bcg décide souverainement et en toute indépendance de se joindre aux signataires de la coalition Manko Taxawu Senegaal dans le cadre de la participation du parti aux élections législatives de 2017», révèle le communiqué du Bloc des centristes gaïndé (BCG) annonçant leur départ de la coalition présidentielle.
Expliquant leurs motivations, Dias-père et Cie disent vouloir éviter la «reconduction d’une Assemblée nationale asservie face à l’Exécutif et au judiciaire» ; mais aussi, lutter contre la «persistance de l’instrumentalisation, de la manipulation de la Justice contre de dignes concitoyens dans le seul but de règlements de comptes politiciens vis à vis de ceux qui osent manifester une quelconque ambition politique démocratique pour le Sénégal, le cas le plus significatif étant celui de la détention arbitraire du maire de dénoncé par toute l’Afrique et par le monde entier. Le Sénégal officiel se couvrant de honte».
Les centristes affirment avoir rejoint les rangs de l’opposition, en droite ligne de leur conviction de doter le Sénégal d’un parlement qui représente véritablement les populations sénégalaises.
Ainsi, la coalition Manko Taxawu Senegaal s’agrandit au détriment de Benno Bokk Yaakaar, après avoir noté l’arrivée de Serigne Mansour Sy Djamil, Hélène Tine, et Jean Paul Dias. Et, selon les membres de cette coalition lancée par 10 ténors de l’opposition, cette saignée va se poursuivre.
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