Ce vendredi 27 octobre, une marche pour la libération des détenus politiques, en particulier du leader de l’opposition Ousmane Sonko, s'est déroulée dans un climat tendu, avec une forte mobilisation de jeunes scandant des slogans exigeant la libération de leur leader. La marche, encadrée par la police, a vu la participation de plusieurs leaders politiques, arborant des t-shirts et des bandeaux rouges avec la mention "Non aux détentions arbitraires".
Prenant la parole lors de la marche, Alassane Seck, président de la Ligue Sénégalaise des droits de l'homme (LSDH), a exprimé sa préoccupation quant à l'arrestation et à la détention d’Aliou Sané. « Des organisations signataires de la présente déclaration sont particulièrement préoccupées par l'arrestation et le placement sous mandat de dépôt de Monsieur Aliou Sané, depuis le jeudi 05 octobre 2023 », a-t-il déclaré.
Poursuivant, M. Seck a soutenu que « l'emprisonnement de Aliou Sané et toutes les charges que le procureur a retenues contre lui résultent de l'exercice d'un droit garanti par la Constitution du Sénégal et les conventions régionales et internationales des droits humains signées et ratifiées par l'Etat du Sénégal : le droit de réunion pacifique.
Les organisations signataires exigent la libération immédiate et sans condition de Monsieur Aliou Sané et l'abandon de toutes les poursuites contre lui ».
Ainsi, le Président Macky Sall a été appelé « à créer un environnement favorable à l'exercice complet des droits civils et politiques et à prendre des mesures pour renforcer la protection des droits de l'homme et la transparence dans la gestion des affaires publiques, notamment dans le contexte préélectoral actuel ».
Prenant la parole lors de la marche, Alassane Seck, président de la Ligue Sénégalaise des droits de l'homme (LSDH), a exprimé sa préoccupation quant à l'arrestation et à la détention d’Aliou Sané. « Des organisations signataires de la présente déclaration sont particulièrement préoccupées par l'arrestation et le placement sous mandat de dépôt de Monsieur Aliou Sané, depuis le jeudi 05 octobre 2023 », a-t-il déclaré.
Poursuivant, M. Seck a soutenu que « l'emprisonnement de Aliou Sané et toutes les charges que le procureur a retenues contre lui résultent de l'exercice d'un droit garanti par la Constitution du Sénégal et les conventions régionales et internationales des droits humains signées et ratifiées par l'Etat du Sénégal : le droit de réunion pacifique.
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