Après une pause du programme de retrait des enfants de la rue, initié par le gouvernement de Macky Sall, son retour s’annonce. La coordonnatrice de la Cellule d’appui à la protection de l’enfance (Cape), Ramatoulaye Ndao Diouf, préconise une synergie d’actions pour venir à bout du phénomène.
« Aujourd’hui, il faut que l’Etat, les ONG et la société puissent tous travailler ensemble dans une approche concertée, si nous voulons venir à bout du phénomène des enfants de la rue », a-t-elle déclaré mercredi à Dakar, à l’occasion du 30e anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant (Cde).
Dans cette perspective, elle a salué « la dynamique partenariale » en œuvre dans les actions mises en œuvre par la société civile, de concert avec les organisations engagées dans la lutte contre le phénomène des enfants de la rue, à savoir l’UNICEF, Save the Children, Plan international, World Vision, entre autres.
Ce partenariat, selon la coordonnatrice, permettra de travailler de façon plus ordonnée pour relever ce défi et aussi mettre fin aux violences faites aux enfants ». « Il ne sert à rien que l’Etat essaie de retirer les enfants de la rue à lui seul, il faudrait qu’avec les communautés et les individualités nous puissions nous mettre d’accord et acceptions que nous devons tous prendre nos responsabilités", a-t-elle indiqué.
Ramatoulaye Ndao Diouf estime que « s’il y a des enfants dans la rue, c’est que les leaders religieux et les parents que nous sommes ne prenons pas nos responsabilités comme il se doit ». Aussi a-t-elle sollicité l’appui des parlementaires afin que le projet de loi portant code de l’enfance puisse être adopté dans les plus brefs délais pour une meilleure prise en charge des droits de l’enfant dans notre pays.
« Aujourd’hui, il faut que l’Etat, les ONG et la société puissent tous travailler ensemble dans une approche concertée, si nous voulons venir à bout du phénomène des enfants de la rue », a-t-elle déclaré mercredi à Dakar, à l’occasion du 30e anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant (Cde).
Dans cette perspective, elle a salué « la dynamique partenariale » en œuvre dans les actions mises en œuvre par la société civile, de concert avec les organisations engagées dans la lutte contre le phénomène des enfants de la rue, à savoir l’UNICEF, Save the Children, Plan international, World Vision, entre autres.
Ce partenariat, selon la coordonnatrice, permettra de travailler de façon plus ordonnée pour relever ce défi et aussi mettre fin aux violences faites aux enfants ». « Il ne sert à rien que l’Etat essaie de retirer les enfants de la rue à lui seul, il faudrait qu’avec les communautés et les individualités nous puissions nous mettre d’accord et acceptions que nous devons tous prendre nos responsabilités", a-t-elle indiqué.
Ramatoulaye Ndao Diouf estime que « s’il y a des enfants dans la rue, c’est que les leaders religieux et les parents que nous sommes ne prenons pas nos responsabilités comme il se doit ». Aussi a-t-elle sollicité l’appui des parlementaires afin que le projet de loi portant code de l’enfance puisse être adopté dans les plus brefs délais pour une meilleure prise en charge des droits de l’enfant dans notre pays.
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