Ahmed Godané est soupçonné de conseiller des combattants shebabs somaliens (photo) et d'avoir formé de nouvelles recrues. AFP/TOPSHOTS/STRINGER
Cette autobiographie publiée sur des sites islamistes, il y a quelques jours, décrit son enfance dans l’Alabama, un père syrien qui le pousse à se convertir à l’islam et une mère qui l’emmène tous les dimanches à l’église. Enfin, il étudie la Bible et affirme être le meilleur de sa classe.
Adolescent, il finit par écouter son père et aller à la mosquée. Mais il se radicalise de plus en plus, et l’idée du jihad murit peu à peu dans son esprit. Omar Hammami dit Abu Mansoor al-Ameriki finit par rejoindre la Somalie en 2006.
Le style de ce texte est enfantin, avec ponctuant certaines phrases, des onomatopées marquant le rire. Il raconte son arrivée dans Mogadiscio puis Kismayo, son entraînement et ses premières expériences avec les armes.
A la mi-mars, Abu Mansoor al-Ameriki, de son vrai nom Omar Hammami publiait une vidéo sur internet affirmant que sa vie était menacée suggérant des divisions au sein des shebabs qui ont par suite éclaté au grand jour entre entre Muktar Robow, Sheikh Aweys d’un côté et Ahmed Godane de l’autre.
S’il est difficile de savoir quelle position il occupe aujourd’hui, ou quel camp il a rejoint, ce texte daté du 16 mai dernier, s’il est authentique comme le suggèrent plusieurs analystes sur la Somalie, tend à prouver en tous cas qu’il est toujours vivant.
Source: RFI
Adolescent, il finit par écouter son père et aller à la mosquée. Mais il se radicalise de plus en plus, et l’idée du jihad murit peu à peu dans son esprit. Omar Hammami dit Abu Mansoor al-Ameriki finit par rejoindre la Somalie en 2006.
Le style de ce texte est enfantin, avec ponctuant certaines phrases, des onomatopées marquant le rire. Il raconte son arrivée dans Mogadiscio puis Kismayo, son entraînement et ses premières expériences avec les armes.
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