Si l’Alliance Démocratique, la DA, fait désormais partie de la coalition à Pretoria, elle n’a pas la main sur le portefeuille des Affaires étrangères, et c’est donc en ce sens qu’elle appelle le ministre de l’ANC, Ronald Lamola, à faire pression sur le voisin zimbabwéen, et à trouver un autre lieu pour accueillir ce sommet de la SADC.
Une suggestion balayée de la main par le parti de Nelson Mandela, qui préfère favoriser le dialogue avec son allié de la ZANU-PF, au pouvoir à Harare.
Ce débat autour du non respect des droits de l’homme et de la démocratie fait suite à de nouvelles arrestations d’opposants ces derniers jours, avec quatre militants interceptés avant le décollage d’un avion, et une dizaine d’autres arrêtés dans une ville du nord. Ils viennent s’ajouter plus de 70 manifestants incarcérés depuis juin.
Le ministère de l’Intérieur zimbabwéen accuse les groupes d’oppositions de multiplier les actions afin de provoquer une réponse lourde de la part du gouvernement, et de jeter une ombre sur ce sommet.
Une suggestion balayée de la main par le parti de Nelson Mandela, qui préfère favoriser le dialogue avec son allié de la ZANU-PF, au pouvoir à Harare.
Ce débat autour du non respect des droits de l’homme et de la démocratie fait suite à de nouvelles arrestations d’opposants ces derniers jours, avec quatre militants interceptés avant le décollage d’un avion, et une dizaine d’autres arrêtés dans une ville du nord. Ils viennent s’ajouter plus de 70 manifestants incarcérés depuis juin.
Le ministère de l’Intérieur zimbabwéen accuse les groupes d’oppositions de multiplier les actions afin de provoquer une réponse lourde de la part du gouvernement, et de jeter une ombre sur ce sommet.
Autres articles
-
Ces Sud-Africains blancs qui veulent l’asile aux États-Unis
-
Kenya: un député tué par balle à Nairobi
-
RDC : une requête déposée au Sénat pour obtenir une levée de l'immunité de l'ex-président Kabila
-
Burkina Faso : meeting de soutien au capitaine Ibrahim Traoré
-
Nigeria: début du procès du leader séparatiste biafrais Nnamdi Kanu, accusé de «terrorisme» et «trahison»