La plateforme des anciens délégués de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) a exprimé, dans un communiqué rendu public ce mardi 9 décembre 2025, sa « profonde » préoccupation face aux récents affrontements entre les étudiants et les Forces de Défense et de Sécurité (FDS). Ces tensions, liées aux revendications concernant le paiement des bourses, risquent, selon la plateforme, de « compromettre durablement la stabilité du campus et l’avenir académique des étudiants ».
Afin d’éviter une aggravation de la situation, la plateforme annonce avoir mené, depuis le début de la crise, « un ensemble d’actions concrètes pour favoriser l’apaisement et la recherche de solutions ». Elle a notamment formulé une « demande de suspension des manifestations pour une période de quarante-huit heures ».
Son rôle de médiation s’est traduit par une rencontre, le 3 décembre, avec le collectif étudiant, menée dans un esprit d’écoute. Le lendemain, le 04 décembre, une entrevue a eu lieu avec le Directeur des bourses, suivie, le soir même, d’une facilitation de rencontre entre le collectif et le Président de l’Assemblée nationale, afin d’accélérer une prise en charge institutionnelle du dossier.
Le dialogue s’est poursuivi le 6 décembre par une seconde rencontre avec les étudiants, ainsi que par la facilitation d’une concertation avec des organisations syndicales et de la société civile, dont le SAEMSS. Parmi les initiatives structurelles proposées, la plateforme travaille à la mise en place d’un « Comité de Prévention des Crises au sein des universités et écoles supérieures du Sénégal, en priorité à l’UCAD ».
Dans sa démarche, la plateforme réaffirme « toute sa disponibilité et son accompagnement aux étudiants, dont les préoccupations doivent être traitées avec diligence, responsabilité et transparence ». Elle propose, « en tant que médiateur, que les étudiants lui accordent un délai pour entrer davantage en contact avec les autorités concernées et rétablir un cadre de dialogue apaisé, renforcé par ses compétences techniques et son expérience de la gestion de crises ». Elle appelle également les étudiants à « privilégier les voies pacifiques d’expression, indispensables à un environnement académique propice à la réussite ».
Parallèlement, la plateforme exhorte les autorités étatiques à « éviter toute mesure de répression, qui ne ferait qu’aggraver la situation ». Elle les invite vivement à « renouer, sans délai, le fil du dialogue avec les étudiants dans un esprit d’écoute, de respect mutuel et de recherche de solutions durables ».
En conclusion, la plateforme « demande à toutes les parties d’éviter toute escalade de la violence, qui n’arrange personne et compromet gravement la stabilité de l’espace universitaire ». Elle réitère « sa disponibilité totale pour accompagner l’ensemble des acteurs dans la recherche de solutions concertées permettant un retour rapide à la normale ».
Afin d’éviter une aggravation de la situation, la plateforme annonce avoir mené, depuis le début de la crise, « un ensemble d’actions concrètes pour favoriser l’apaisement et la recherche de solutions ». Elle a notamment formulé une « demande de suspension des manifestations pour une période de quarante-huit heures ».
Son rôle de médiation s’est traduit par une rencontre, le 3 décembre, avec le collectif étudiant, menée dans un esprit d’écoute. Le lendemain, le 04 décembre, une entrevue a eu lieu avec le Directeur des bourses, suivie, le soir même, d’une facilitation de rencontre entre le collectif et le Président de l’Assemblée nationale, afin d’accélérer une prise en charge institutionnelle du dossier.
Le dialogue s’est poursuivi le 6 décembre par une seconde rencontre avec les étudiants, ainsi que par la facilitation d’une concertation avec des organisations syndicales et de la société civile, dont le SAEMSS. Parmi les initiatives structurelles proposées, la plateforme travaille à la mise en place d’un « Comité de Prévention des Crises au sein des universités et écoles supérieures du Sénégal, en priorité à l’UCAD ».
Dans sa démarche, la plateforme réaffirme « toute sa disponibilité et son accompagnement aux étudiants, dont les préoccupations doivent être traitées avec diligence, responsabilité et transparence ». Elle propose, « en tant que médiateur, que les étudiants lui accordent un délai pour entrer davantage en contact avec les autorités concernées et rétablir un cadre de dialogue apaisé, renforcé par ses compétences techniques et son expérience de la gestion de crises ». Elle appelle également les étudiants à « privilégier les voies pacifiques d’expression, indispensables à un environnement académique propice à la réussite ».
Parallèlement, la plateforme exhorte les autorités étatiques à « éviter toute mesure de répression, qui ne ferait qu’aggraver la situation ». Elle les invite vivement à « renouer, sans délai, le fil du dialogue avec les étudiants dans un esprit d’écoute, de respect mutuel et de recherche de solutions durables ».
En conclusion, la plateforme « demande à toutes les parties d’éviter toute escalade de la violence, qui n’arrange personne et compromet gravement la stabilité de l’espace universitaire ». Elle réitère « sa disponibilité totale pour accompagner l’ensemble des acteurs dans la recherche de solutions concertées permettant un retour rapide à la normale ».
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