
Au Togo, le chef de l’État Faure Gnassingbé et ses partisans se retrouvent à Kara, sa ville natale, pour le deuxième congrès statutaire de son parti, l’Union pour la République (Unir), majoritaire au pouvoir.
Ce congrès débute ce 26 février 2024 à plus de 400 kilomètres au nord de Lomé, dans un contexte de double élection, législatives et régionales.
La veille, le thème principal du congrès n’était toujours pas dévoilé. Malgré cela, près de 1 500 délégués ont été conviés à cette grande messe politique.
Révision des textes, de l'organisation du parti et étude des candidatures pour les élections
Selon le service de communication du congrès, des textes doivent être revus et amendés. L’organisation du parti, mise en place lors du premier congrès d’octobre 2017, alors que le pays était en pleine crise politique, n’a pas convaincu. Les vice-présidents régionaux devraient disparaitre au profit d’un seul et unique vice-président.
L’autre enjeu du congrès qui s’ouvre à l’approche de la double élection, législatives et régionales, prévue désormais le 20 avril prochain, c’est l’investiture des candidats : les nombreuses candidatures déclarées depuis plusieurs jours vont être tranchées par le président du parti, Faure Gnassingbé lui-même.
Lors de cet ultime congrès avant élection, il s’agit aussi de mobiliser les troupes, indiquer les objectifs et se préparer face à une opposition qui, cette fois, ne boycotte pas les scrutins.
Ce congrès débute ce 26 février 2024 à plus de 400 kilomètres au nord de Lomé, dans un contexte de double élection, législatives et régionales.
La veille, le thème principal du congrès n’était toujours pas dévoilé. Malgré cela, près de 1 500 délégués ont été conviés à cette grande messe politique.
Révision des textes, de l'organisation du parti et étude des candidatures pour les élections
Selon le service de communication du congrès, des textes doivent être revus et amendés. L’organisation du parti, mise en place lors du premier congrès d’octobre 2017, alors que le pays était en pleine crise politique, n’a pas convaincu. Les vice-présidents régionaux devraient disparaitre au profit d’un seul et unique vice-président.
L’autre enjeu du congrès qui s’ouvre à l’approche de la double élection, législatives et régionales, prévue désormais le 20 avril prochain, c’est l’investiture des candidats : les nombreuses candidatures déclarées depuis plusieurs jours vont être tranchées par le président du parti, Faure Gnassingbé lui-même.
Lors de cet ultime congrès avant élection, il s’agit aussi de mobiliser les troupes, indiquer les objectifs et se préparer face à une opposition qui, cette fois, ne boycotte pas les scrutins.
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