
Le guide religieux Cheikh Diagne, connu sous le nom de Moussa Diagne, a été condamné ce mercredi par le tribunal des flagrants délits de Dakar à six mois de prison ferme et à une amende de 200.000 F CFA. Il avait été jugé le 4 juin dernier, après avoir été placé sous mandat de dépôt le 19 mai.
Il était poursuivi pour des faits liés à des propos tenus dans des vidéos, notamment pour discours contraire aux bonnes mœurs, incitation à la discrimination religieuse, propos tendant à un soulèvement entre citoyens et insultes via un système informatique.
Lors de l’audience, cinq vidéos ont été diffusées, dans lesquelles le prévenu tenait des propos considérés comme blasphématoires envers l’islam et le prophète Mouhamed (PSL). Cheikh Diagne a reconnu être l’auteur des déclarations, tout en précisant qu’elles dataient de 2020 et avaient été sorties de leur contexte. Il a également présenté ses excuses.
Le parquet avait requis deux ans de prison dont six mois ferme, ainsi qu’une amende de 200.000 FCFA. De leur côté, les avocats de la défense ont dénoncé un acharnement à l’encontre de leur client, estimant que les plaignants étaient motivés par des règlements de comptes personnels. Ils ont demandé une application clémente de la loi, tout en soulignant l'absence de partie civile à l’audience.
Il était poursuivi pour des faits liés à des propos tenus dans des vidéos, notamment pour discours contraire aux bonnes mœurs, incitation à la discrimination religieuse, propos tendant à un soulèvement entre citoyens et insultes via un système informatique.
Lors de l’audience, cinq vidéos ont été diffusées, dans lesquelles le prévenu tenait des propos considérés comme blasphématoires envers l’islam et le prophète Mouhamed (PSL). Cheikh Diagne a reconnu être l’auteur des déclarations, tout en précisant qu’elles dataient de 2020 et avaient été sorties de leur contexte. Il a également présenté ses excuses.
Le parquet avait requis deux ans de prison dont six mois ferme, ainsi qu’une amende de 200.000 FCFA. De leur côté, les avocats de la défense ont dénoncé un acharnement à l’encontre de leur client, estimant que les plaignants étaient motivés par des règlements de comptes personnels. Ils ont demandé une application clémente de la loi, tout en soulignant l'absence de partie civile à l’audience.
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