
René N. Faye a été jugé mercredi par le tribunal des flagrants délits de Dakar pour "attentat à la pudeur" à l’encontre de son élève F.S âgé de 18 ans. La jeune fille accuse le professeur de mathématique d’attouchement sexuel pendant des cours particuliers incluant des actes de cunnilingus et de masturbation, avec des témoignages ahurissantes allant jusqu’à choquer l’audience,
D’après le témoignage "sans gêne" de l’élève F S, l’histoire a débuté par des cours particuliers, que René N.Faye dispensés au départ à la tante de la victime qui préparait un concours pour les eaux et forêts. C’est là que prend le point de départ de sa rencontre avec le professeur dans le cadre d’un soutien pour rehausser son niveau en mathématiques, après qu’elle ait été exclue de son établissement pour des résultats insuffisants.
La situation a vite pris une autre tournure renseigne la même source. Lors d’une séance le 23 septembre, le professeur aurait initié des attouchements forcés. L’élève a raconté que l’enseignant lui avait d’abord demandé un massage, puis a commencé à l’embrasser de force, a tiré violemment son pantalon en cassant de passage sa fermeture avant de procéder à des actes de cunnilingus. De plus, elle a décrit la manière dont le professeur s’était masturbé devant elle après qu’elle ait résisté à sa tentative de pénétration.
Le mis en cause malgré qu’il ait reconnu partiellement les faits, il semble ne pas avoir tenu en compte la gravité des allégations “On s’est juste embrassé. Elle était consentante”, a-t-il déclaré devant le tribunal.
Sauf que la présence de traces de sperme sur le foulard de la victime, a été une preuve accablante, en contradiction avec ses dires. En expliquant le déroulement des faits, René N. Faye a affirmé s’était masturbé dans la salle de bain, avant de se nettoyer avec le foulard de la jeune fille.
N’ayant pas été convaincu par les propos de l’accusé, le procureur a requis deux ans de prison ferme pour "attentat à la pudeur". Le verdict sera rendu le 23 octobre au tribunal des flagrants délits de Dakar.
D’après le témoignage "sans gêne" de l’élève F S, l’histoire a débuté par des cours particuliers, que René N.Faye dispensés au départ à la tante de la victime qui préparait un concours pour les eaux et forêts. C’est là que prend le point de départ de sa rencontre avec le professeur dans le cadre d’un soutien pour rehausser son niveau en mathématiques, après qu’elle ait été exclue de son établissement pour des résultats insuffisants.
La situation a vite pris une autre tournure renseigne la même source. Lors d’une séance le 23 septembre, le professeur aurait initié des attouchements forcés. L’élève a raconté que l’enseignant lui avait d’abord demandé un massage, puis a commencé à l’embrasser de force, a tiré violemment son pantalon en cassant de passage sa fermeture avant de procéder à des actes de cunnilingus. De plus, elle a décrit la manière dont le professeur s’était masturbé devant elle après qu’elle ait résisté à sa tentative de pénétration.
Le mis en cause malgré qu’il ait reconnu partiellement les faits, il semble ne pas avoir tenu en compte la gravité des allégations “On s’est juste embrassé. Elle était consentante”, a-t-il déclaré devant le tribunal.
Sauf que la présence de traces de sperme sur le foulard de la victime, a été une preuve accablante, en contradiction avec ses dires. En expliquant le déroulement des faits, René N. Faye a affirmé s’était masturbé dans la salle de bain, avant de se nettoyer avec le foulard de la jeune fille.
N’ayant pas été convaincu par les propos de l’accusé, le procureur a requis deux ans de prison ferme pour "attentat à la pudeur". Le verdict sera rendu le 23 octobre au tribunal des flagrants délits de Dakar.
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