«J'ai le plaisir de vous annoncer que l'ancien directeur de l'ICE et pilier du contrôle des frontières, Tom Homan, rejoindra l'administration Trump où il sera chargé des frontières de notre pays ("Le Tsar des frontières")», a écrit Donald Trump sur son réseau Truth Social, ce dimanche.
«Je connais Tom depuis longtemps, et il n'y a personne de meilleur que lui pour surveiller et contrôler nos frontières», a poursuivi le milliardaire américain, affirmant que le nouveau directeur de l'ICE sera chargé de «toutes les expulsions d'étrangers en situation illégale vers leur pays d'origine».
Le président élu de 78 ans s'est engagé à lancer, dès le premier jour de son mandat, la plus grande opération d'expulsion de migrants illégaux de l'histoire des Etats-Unis.
Au cours de sa campagne, il s'est déchaîné à plusieurs reprises contre les migrants clandestins qui, selon lui, «empoisonnent le sang» de son pays, et a promis de ré-instaurer une politique de séparation des familles à la frontière.
Thomas Homan – un tenant de la ligne dure – avait déjà dirigé l'ICE lors du précédent mandat de Donald Trump (2017-2021). Sous cette première présidence Trump, près de 4000 enfants migrants avaient été séparés de leurs parents, placés en détention.
«Je connais Tom depuis longtemps, et il n'y a personne de meilleur que lui pour surveiller et contrôler nos frontières», a poursuivi le milliardaire américain, affirmant que le nouveau directeur de l'ICE sera chargé de «toutes les expulsions d'étrangers en situation illégale vers leur pays d'origine».
Le président élu de 78 ans s'est engagé à lancer, dès le premier jour de son mandat, la plus grande opération d'expulsion de migrants illégaux de l'histoire des Etats-Unis.
Au cours de sa campagne, il s'est déchaîné à plusieurs reprises contre les migrants clandestins qui, selon lui, «empoisonnent le sang» de son pays, et a promis de ré-instaurer une politique de séparation des familles à la frontière.
Thomas Homan – un tenant de la ligne dure – avait déjà dirigé l'ICE lors du précédent mandat de Donald Trump (2017-2021). Sous cette première présidence Trump, près de 4000 enfants migrants avaient été séparés de leurs parents, placés en détention.
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