Et selon le ministère, parmi les 110 agents, certains sont accusés de faciliter la contrebande d'armes avec la Libye. D'autres ont été mis en prison pour avoir fourni des uniformes, des armes lourdes et des renseignements, aux jihadistes qui commettent des attentats dans le pays.
Selon notre correspondante sur place, Sihem Hassaini, ces arrestations suscitent d'intenses débats en Tunisie. Si une partie des tunisiens salue ces arrestations, d'autres au contraire s'inquiètent de voir le corps sécuritaire gangréné par la corruption et le terrorisme.
Elle fait remarquer que depuis la chute du régime de Ben Ali, laTunisie est en proie à une instabilité due à des actions terroristes visant des forces de l’ordre ou des touristes. Cinquante six personnes ont été tuées dans des actions menées par des djihadistes.
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