Le président tunisien avec Abdelaziz Bouteflika lors de sa première visite en Algérie, le 12 février 2012. REUTERS/Ramzi Boudina
L’Union du maghreb arabe (UMA) est-elle de nouveau sur les rails ? Moncef Marzouki en tout cas, affiche son optimisme à l’issue de sa tournée chez ses voisins. « L’année 2012 sera celle de l’UMA », a-t-il assuré lundi 13 février à Alger.
Il a aussi réitéré l’annonce de la tenue d’un sommet des chefs d’Etats du Maghreb dans le courant de l’année, sans doute en Tunisie. Il y promet des avancées « palpables ». Déjà, les ministres maghrébins des affaires étrangères doivent se réunir le 18 février prochain à Rabat.
Malgré tout, une relance plus concrète de l’UMA dépend des relations entre l’Algérie et le Maroc, tendues à cause du Sahara occidental et de la fermeture des frontières depuis 1994. Les deux pays semblent dans une phase de réchauffement, illustrée par la visite du ministre marocain des Affaires étrangères à Alger, il y a quelques semaines. Mais pour l’instant la réouverture des frontières n’est toujours pas à l’ordre du jour pour Alger.
Moncef Marzouki a plaidé devant la presse pour que les deux pays « contournent » leurs différends. Abdelaziz Bouteflika lui n’a pas fait de commentaire à l’issue de cette visite, mais la diplomatie algérienne a multiplié les déclarations en faveur de l’UMA ces derniers mois.
Source: RFI
Il a aussi réitéré l’annonce de la tenue d’un sommet des chefs d’Etats du Maghreb dans le courant de l’année, sans doute en Tunisie. Il y promet des avancées « palpables ». Déjà, les ministres maghrébins des affaires étrangères doivent se réunir le 18 février prochain à Rabat.
Malgré tout, une relance plus concrète de l’UMA dépend des relations entre l’Algérie et le Maroc, tendues à cause du Sahara occidental et de la fermeture des frontières depuis 1994. Les deux pays semblent dans une phase de réchauffement, illustrée par la visite du ministre marocain des Affaires étrangères à Alger, il y a quelques semaines. Mais pour l’instant la réouverture des frontières n’est toujours pas à l’ordre du jour pour Alger.
Moncef Marzouki a plaidé devant la presse pour que les deux pays « contournent » leurs différends. Abdelaziz Bouteflika lui n’a pas fait de commentaire à l’issue de cette visite, mais la diplomatie algérienne a multiplié les déclarations en faveur de l’UMA ces derniers mois.
Source: RFI
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